Black Mirror – Saison 5
Black
Mirror – Saison 5
Striking
Vipers : Quand deux vieux amis de fac se
retrouvent dans la réalité virtuelle de leur jeu vidéo préféré, les longues
soirées à jouer donnent lieu à une étonnante découverte.
Smithereens : Un
chauffeur londonien provoque une crise internationale lorsqu'il kidnappe un
employé travaillant pour un grand réseau social.
Rachel,
Jack et Ashley Too : Une ado solitaire se prend
de passion pour une poupée robotisée inspirée d'Ashley O, sa chanteuse
préférée, alors que la vie de la vraie starlette s'effiloche peu à peu.
Black Mirror – Saison 5
Réalisation
: Charlie Brooker
Scénario
: Charlie Brooker
Musique : Tyler
Ortega
Production : Zeppotron,
Netflix
Genre : Anticipation
Titre
en vo : Black Mirror – Season 5
Pays
d’origine : Royaume-Uni
Chaîne
d’origine : Netflix
Diffusion
d’origine : 05 juin 2019
Langue
d'origine : anglais
Nombre
d’épisodes : 3 x 65 minutes
Casting :
Anthony
Mackie : Danny
Yahya
Abdul-Mateen II : Karl
Nicole
Beharie : Theo
Pom
Klementieff : Roxette
Ludi
Lin : Lance
August
Muschett : Tyler
Fola
Evans-Akingbola : Mariella
Monique
Cynthia Brown : Daisy
Andrew
Scott : Chris Gillhaney
Damson
Idris : Jaden
Topher
Grace : Billy Bauer
Monica
Dolan : Linda Grace
Amanda
Drew : Hayley
Daniel
Ings : David Gilkes
Ruibo
Qian : Penelope Wu
Ambreen
Razia : Najma Haque
Miley
Cyrus : Ashley O
Angourie
Rice : Rachel
Madison
Davenport : Jack
Susan
Pourfar : Catherine
Marc
Menchaca : Kevin
Jerah
Milligan : Busy G
Daniel
Stewart Sherman : Bear
James
III : Habanero
Nicholas
Pauling : Dr. Munk
Mon
avis : Cela fait quelques semaines que j’ai
eu le plaisir de découvrir, avec pas mal de retard, donc, Black
Mirror, série britannique qui se voulait être une anthologie de la
science-fiction. Riche de quatre saisons et d’un film interactif, Bandersnatch
dont je vous parlerais bientôt et qui avait rappeler bien des souvenirs aux
vieux amateurs de Livres dont vous êtes le Héros – bref, si
vous n’avez pas connu les années 80, passez votre chemin – cette série, malgré
bien des critiques lors de la quatrième
saison – injustifiées a mes yeux, mais bon – s’était révélée être
suffisamment bonne pour que, pour ma part, je la considère comme étant une
excellente série qui, ma foi, méritait le détour. Forcément, vous pouvez
imaginez que j’étais on ne peut plus pressé de découvrir cette cinquième saison,
or, d’entrée de jeu, première déception… il n’y avait que trois misérables
épisodes… Certes, cela nous renvoyait aux débuts de la série, eux aussi plutôt
avares en épisodes, mais bon, on était tout de même en droit d’en attendre
davantage. Or, une fois la première couleuvre avalée, il y en eu une autre,
bien plus problématique… la qualité. Oui, mille fois oui, ici, nous sommes a
des années lumières de ce que Black Mirror nous avait habitués
jusque là et, franchement, ce fut une sacrée déception ! Alors bien sur,
ce ne fut pas vraiment une surprise vu que les critiques étaient pour le moins
mauvaises, cependant, les critiques et moi, cela ne fait pas deux et j’ai
l’habitude de ne jurer que par moi-même… le problème, et il est de taille,
c’est que, effectivement, pour une fois, je suis d’accord avec les critiques,
du moins, dans les grandes lignes et, effectivement, cette cinquième saison
de Black Mirror est composée d’un épisode sympathique, Striking
Vipers, qui rappellera quelques souvenirs aux vieux amateurs de Tekken 3 ou
de Soul
Blade, d’un épisode franchement moyen, Smithereens, qui
se voulait être une critique des réseaux sociaux mais où l’on s’ennui ferme et,
pour finir, d’un épisode qui démarrait plutôt bien, Rachel, Jack et
Ashley Too, mais qui est tellement convenu et prévisible que, au final, on
se demande a quoi il a servi en dehors du fait qu’il m’a permit de me rappeler
l’existence de Miley Cyrus… Bref, vous l’avez compris, cette cinquième saison
de Black Mirror m’aura déçu comme jamais : très pauvre, a
la fois en épisodes comme en qualité, cette dernière m’aura fait me demander si
le concept n’a pas été usé jusqu’à la corde et si les producteurs de la série
ne feraient pas mieux d’arrêter les frais… car bon, si c’est pour nous pondre
une sixième saison de cet acabit, autant s’en abstenir !
Points
Positifs :
-
Heureusement qu’il y avait Striking Vipers ! En effet, sans
cet épisode qui rappellera bien des souvenir aux amateurs de jeux de combats,
cette cinquième saison de Black Mirror aurait été un naufrage
complet. Ainsi, que ce soit pour cette histoire a priori banale d’un vieux
couple qui a perdu le feu sacré depuis longtemps et de ces deux vieux potes qui
ont une drôle de façon de jouer a un jeu de combat, ultra réaliste, le jeu en
vaut la chandelle…
-
Le postulat de départ de Smithereens est plutôt bon avec cette
volonté de critiquer les réseaux sociaux ; dommage que le scénario ne
suive pas.
-
A ma grande surprise, Miley Cyrus ne s’en sort pas trop mal. Bon, pas de
quoi sauteur au plafond non plus, mais bon…
-
Le petit robot de Rachel, Jack et Ashley Too est sympa ;
certes, je cherche vraiment des points positifs à cette saison.
Points
Négatifs :
-
La plus mauvaise saison de Black Mirror, et, malheureusement, de
très loin ! Mais comment ont-ils put nous pondre des épisodes aussi
médiocres – le meilleur, Striking Vipers, est sympa mais n’est pas
non plus un chef d’œuvre – quand on pense a certaines véritables merveilles
auxquelles ont étaient habituées auparavant !?
-
Trois misérables épisodes, seulement !? Et en plus, ils se donnent le luxe
de n’en réussir, véritablement, qu’un seul !
- Rachel,
Jack et Ashley Too est le plus mauvais épisode de la saison :
malgré un début acceptable, l’ensemble part très rapidement en couille et,
sincèrement, entre un scénario prévisible, convenu et plutôt niais, il y a de
quoi être dubitatif…
-
Au début, on se dit que Smithereens peut-être pas mal, puis,
on commence a s’ennuyer ferme, constatant avec déplaisir qu’il ne se passe pas
grand-chose, quand a la fin, comment dire… autant ne pas en parler vu qu’elle
ne sert a rien !
Ma
note : 5,5/10
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire