Low
– L'Ivresse de l'Espoir
Dans
le futur, le Soleil vit ses dernières heures et a ravagé la Terre de ses rayons
destructeurs. L'Humanité s'est réfugiée sous les eaux. Stel Caine est une
scientifique qui croît fermement que le salut de l'espèce humaine pourrait
dépendre des sondes envoyées dans tout l'univers pour découvrir une planète
hospitalière. Son mari, Johl, lui propose d'emmener en dehors de la cité
sous-marine leurs deux filles, Della et Tajo, afin qu'elles se rendent compte
de l'immensité de ce qui les entourent et des dangers qui vont avec. Ils
empruntent un submersible et sortent de la cité protégée. Alors que les deux
fillettes s'enthousiasment pour les décors tous plus sublimes les uns que les
autres, leurs parents les avertissent que la horde Scorbut, des marginaux
recourant le plus souvent à la violence. Alors que l'expédition familiale se
poursuit, un mammouth, une sorte de pieuvre géante, plonge non loin d'eux. Johl
décide de la suivre un peu plus dans les profondeurs. Une erreur qui va leur
coûter très chère...
Low – L'Ivresse de l'Espoir
Scénario : Rick Remender
Dessins
: Greg Tocchini
Encrage : Greg
Tocchini
Couleurs : Marianne
Gusmao
Couverture : Greg
Tocchini
Genre : Aventure,
Action, Science-Fiction
Editeur
: Image Comics
Titre en vo
: Low – The
Delirium of Hope
Pays
d’origine : Etats-Unis
Parution
: 25
mars 2015
Langue
d’origine : anglais
Editeur
français : Urban Comics
Date
de parution : 26 février 2016
Nombre
de pages : 144
Liste
des épisodes
Low
1-6
Mon
avis : De Rick Remender, scénariste
majeur de la scène comics nord-américaine, je dois reconnaitre que je n’ai pas
trop eu l’occasion de lire énormément de ses œuvres, ci ce n’est, bien entendu,
son travail pour Marvel et, plus particulièrement, son passage
on ne peut plus réussi, si l’on de met de coté le final, sur Uncanny
Avengers. Cependant, au vu de tout ce que j’avais eu l’occasion de lire
a son sujet, choses qui tenaient davantage des louanges d’ailleurs, je savais
parfaitement que, tôt ou tard, l’occasion me serait présentée de me lancer dans
une œuvre indépendante du sieur Remender, ne serais-ce que pour la simple et
bonne raison que, comme chacun sait, la plupart du temps, les meilleurs comics
ne sont pas forcément ceux de Marvel et DC. Tout
cela, donc, pour en arriver a Low, série dont j’avais entendu
parler pour la toute première fois dans l’article consacré à Rick Remender dans
un vieux numéro de Comic Box. Une série dont j’attendais la
publication française depuis quelques mois et dont le premier tome est donc
sorti fin février, album que, bien entendu, je me suis empressé de me procurer.
Et, ma foi, je n’ai guère été déçu puisque, dès le préface, signé du
scénariste, j’ai été plutôt emballé par le synopsis de l’histoire : ce
monde, dans un futur lointain, où le Soleil, en fin de vie, s’est tellement
agrandi qui menace, à terme, d’engloutir notre planète – accessoirement, c’est
ce que nous réserve notre avenir. Un monde a l’agonie, donc, où la civilisation
humaine, pour survivre, a dut migrer au fond des océans, la surface de la
planète étant devenue irrespirable. Un monde où les derniers survivants,
n’ayant plus aucun espoir, s’adonnent le plus souvent a leurs plus vils
instincts, la déchéance, tant morale que sexuelle, étant devenue la norme pour
tout le monde… ou presque ! Car oui, Remender, scénariste usant et abusant
des relations filiales compliquées et mettant souvent en scène des
protagonistes marqués par la vie ne sort pas trop de ses habitudes sauf que,
cette fois ci, son personnage principal, Stel Caine, est d’un optimisme a
toute épreuve, peut-être la dernière personne sur cette planète condamnée a
croire que l’humanité peut encore échapper a l’inéducable en migrant vers les
étoiles. Ce positivisme béat, Remender l’assume parfaitement et en fait
d’ailleurs son cheval de bataille, Stel Caine étant un personnage a contre
courant de ceux qu’il a crée jusque là et, accessoirement, aux antipodes de
tous les autres de Low ; au point même d’être fortement
critiquer pour cela mais il faut lire ce premier album pour le comprendre. Car
oui, je ne vais pas rentrer dans les détails mais disons que ces six premiers
épisodes qui mettent en scène cette Terre mourante, cette humanité décadente,
nous entrainent de fort belle manière sur les pas de Stel Caine et de sa
famille, une famille qui va sacrément en baver, qui sera séparée et qui verra
notre héroïne, toujours aussi optimiste malgré les coups du sort, poursuivre
deux quêtes en parallèle : trouver un moyen de rejoindre les étoiles et,
au passage, retrouver et sauver les siens. Sur ce point, Low fonctionne
plutôt bien et l’intrigue est plutôt réussie, quand aux dessins, c’est une
autre histoire puisque Greg Tocchini est certes très talentueux et possède un
style accrocheur, cependant, on ne peut pas vraiment dire que la régularité
soit son maitre mot et, hélas, des planches superbes sont suivies d’autres franchement
brouillonnes. Dommage car le scénario est plutôt bon et que le choix des
couleurs, chaudes pour la plupart, excellents, mais bon, malgré ce défaut, ce
premier volume de Low n’en reste pas moins suffisamment pourvu
de qualités pour ne pas faire l’impasse sur la suite, ne serais-ce que pour
voir si, a force d’en baver, Stel Caine sera toujours aussi optimiste ?!
Points
Positifs :
- Un
postulat de départ plutôt original avec cette Terre condamnée a brève échéance
et qui sera bientôt dévorée par un Soleil en fin de vie. En partant de cela,
Remender nous livre une civilisation décadente, vivant au fond des océans, et
se livrant à tous les excès en attendant la mort.
-
Le personnage principal, Stel Caine, peut vite devenir agaçant avec son
optimisme a toute épreuve, pourtant, la chose passe surtout bien, surtout que
celle-ci s’avère être, en plus d’une femme de convictions, une femme forte et
prête a tout pour les siens.
-
Ces six premiers épisodes se lisent d’une traite et sont plutôt captivants, ne
serais-ce qu’au vu des multiples événements, des coups de théâtre inattendus et
de quelques personnages qui méritent le coup d’œil.
-
Les magnifiques couleurs de Marianne Gusmao.
Points
Négatifs :
-
Les dessins de Greg Tocchini : oui, celui-ci possède un style qui lui est
propre et qui, ma foi, est excellent, le problème, c’est que l’artiste n’est
absolument pas régulier et que, sur une même planche, on peut alterner entre
des cases magnifiques et d’autres complètement ratées. Ajoutons a cela un coté
un peu trop brouillon et vous comprendrez que malgré certaines planches qui
sont un régal pour les yeux, tout cela ne suffit pas à sauver les meubles.
-
Du coup, ce coté un peu brouillon des dessins n’aide pas vraiment à comprendre
l’histoire vu que, par moments, il n’est pas facile de reconnaitre qui est qui.
-
L’optimisme à toute épreuve de Stel Caine peut vraiment en agacer certains.
Ma
note : 8/10
Déjà
Vu
Crosby,
Stills, Nash & Young
1
- Carry On (Stephen Stills) 4:25
2
- Teach Your Children (Graham Nash) 2:53
3
- Almost Cut My Hair (David Crosby) 4:25
4
- Helpless (Neil Young) 3:30
5
- Woodstock (Joni Mitchell) 3:52
6
- Déjà Vu (David Crosby) 4:10
7
- Our House (Graham Nash) 2:59
8
- 4 + 20 (Stephen Stills) 1:55
9
- Country Girl (Neil Young) 5:05
.Whiskey
Boot Hill
.Down,
Down, Down
.Country
Girl (I Think You're Pretty)
10
- Everybody I Love You (Stephen Stills, Neil Young) 2:20
Déjà Vu
Musicien : Crosby, Stills, Nash & Young
Parution
: 11 mars 1970
Enregistré : janvier
1969 – octobre 1969
Durée : 36:24
Genre
: Folk Rock, Rock
Producteur : Crosby, Stills, Nash & Young
Label : Atlantic
Musiciens :
David
Crosby : guitare, chant
Stephen
Stills : guitare,
basse, claviers, chant
Graham
Nash : guitare,
claviers, chant
Neil
Young : guitare,
harmonica, piano, chant
Jerry
Garcia : steel guitare,
guitare slide
Greg
Reeves : basse,
percussions
John
Sebastian : harmonica
Dallas
Taylor : percussions,
batterie
Mon
avis : Ici, l’affaire fut entendue tout
de suite : mais qu’allais faire le grand Neil Young dans ce ramassis de nains
qu’était Crosby, Stills & Nash ? Comme souvent, le raccourci était facile
et un peu trop réducteur, après tout Stephen Stills n’était pas n’importe qui
et avait déjà fait ses armes de fort belle manière aux cotés du canadien chez
Buffalo Springfield, ainsi que de façon ponctuelle par la suite, lorsque le
cœur leur en dit – et qu’ils ne sont pas fâchés. De plus, pour être tout à fait
honnête, Stills est un bon auto-compositeur interprète, connaissant, au cours
de sa carrière fait de hauts et de bas, quelques bonnes réussites. Certes, pour
CS&N, il restait la problématique de Crosby et Nash, l’otarie et le grand
dadais des familles. Une fois de plus, il faut savoir relativiser et ne pas
tomber dans des clichés, ne serais ce que pour leur superbe mélange de voix,
bande son de toute une époque à jamais révolue. Et puis, pour la première et
dernière fois, ces deux là nous livrent deux compositions personnelles à la
hauteur de celles de leurs complices, ce qui fait que ce Déjà Vu,
incontestablement, est un excellant album, riche, complet et tout simplement le
meilleur d’un groupe miné bien trop rapidement par les immenses ego de leurs
membres respectifs. Mais bon, comme tout à chacun sait, ce n’est pas parce que
l’on met plusieurs stars ensemble que la mayonnaise prendra forcement – les
amateurs de ballon rond ne me contrediront pas – et même si ce Déjà Vu est
le meilleur album de la carrière du groupe, en est il pour le moins, tout
simplement, bon ? Car c’est peut être cela qui compte dans le fond ? Et bien
oui, sans aucune discussion possible. Comme dit précédemment, outre Neil Young,
véritable monument de la musique nord américaine depuis presque un demi-siècle,
et Stills, qui, en son temps, connu de grands moments d’inspirations, l’ajout
des deux autres, si l’on peut être perplexe après coup, était parfaitement
justifié à l’époque, et, en écoutant, quatre décennies après sa sortie,
ce Déjà Vu, il est indéniable que cet album était – et l’est
toujours – tout bonnement excellent. D’ailleurs, pour être tout a fait franc,
je dois avouer que c’est l’un des albums que j’écoute le plus, même si celui-ci
est loin d’être mon préféré : les compositions sont soit excellentes soit fort
agréables, il n’y a pas de temps morts et de morceaux a jeter aux oubliettes
et, de plus, Déjà Vu possède un petit coté rétro fort
accrocheur, nous faisant replonger dans une époque révolue – et que je n’ai pas
connu, pour être né quelques petites années plus tard – mais qui m’a toujours
attiré. Et puis, si Neil Young reste égal à lui-même et nous livre deux
compositions de haute volée – en particulier le célèbre Helpless –
à mes yeux, les deux meilleurs titres de l’album sont l’excellant et
ébouriffant Carry On de Stills, qui ouvre l’album – et dont
j’invite tout a chacun de découvrir la version de plus d’un quart d’heure de
l’album live qui suivra, 4 Way Street – tout tambours battants, et
la reprise du Woodstock de Jony Mitchell, dans la même veine.
Et comme le reste de l’album, oscillant entre divers styles selon les
compositeurs, et du même niveau, vous comprendrez aisément que ce Déjà
Vu vaut largement le détour et mérite, incontestablement, de figurer
dans votre discothèque idéale.
Points
Positifs :
- Non
seulement Déjà Vu est le meilleur
album de Crosby, Stills, Nash & Young mais aussi et, surtout, c’est un très
bon opus, n’en déplaise aux détracteurs du groupe. Il faut dire qu’entre l’ajout
de Neil Young, le talent de Stills et un Crosby et un Nash à la hauteur des
deux autres, le résultat ne pouvait qu’être exceptionnel !
-
Musicalement, Neil Young est tout naturellement au-dessus des autres,
cependant, Stephen Stills fait preuve, une fois de plus, qu’il fut en son temps
un des grands noms de la musique, quand à David Crosby et Graham Nash, cet
album nous démontre qu’ils n’étaient pas n’importe qui, particulièrement le
premier, musicien fort talentueux, ce que l’on a tendance à oublier un peu trop
de nos jours…
-
Carry On, Almost Cut My Hair, Helpless,
Woodstock, Déjà Vu et Country Girl
sont de superbes chansons mais le reste de l’album n’est pas à jeter, loin de
là.
-
Une couverture a priori simple mais néanmoins fort réussie.
Points
Négatifs :
-
Il manque peut-être un ou deux titres de Neil Young, histoire de faire de ce Déjà Vu un chef d’œuvre, mais bon,
malin, le Loner réservait ses meilleures chansons pour ses albums solos.
-
Bien évidement, il faut apprécier ou, du moins, être un familier de ce rock
américain de la fin des sixties et qui sonne singulièrement de nos jours. Bien
entendu, ce n’est pas un défaut en soit mais il faut reconnaitre que le genre
de plaira pas a tout le monde…
Ma
note : 8,5/10
Buffalo
Springfield Again
Buffalo
Springfield
1
- Mr Soul (Neil Young) 2:35
2
- A Child's Claim to Fame (Richie Furay) 2:09
3
- Everydays (Steven Stills) 2:38
4
- Expecting to Fly (Neil Young) 3:39
5
- Bluebird (Steven Stills) 4:28
6
- Hung Upside Down (Steven Stills) 3:24
7
- Sad Memory (Richie Furay) 3:00
8
- Good Time Boy (Richie Furay) 2:11
9
- Rock & Roll Woman (Steven Stills) 2:44
10
- Broken Arrow (Neil Young) 6:13
A Reality Tour
Musicien : Buffalo Springfield
Parution
: 30 octobre 1967
Enregistré : janvier
1967 – octobre 1967
Durée : 34:07
Genre
: Folk Rock, Rock
Producteur : Richie Furay, Jack Nitzsche, Stephen Stills,
Neil Young
Label : ATCO
Musiciens :
Neil
Young : guitare, chant
Steven
Stills : guitare, chant
Richie
Furay : guitare, chant
Dewey
Martin : batterie,
chant
Bruce
Palmer : basse
Jack
Nitzsche : piano
électrique
Don
Randi : piano,
harpsichord
Bruce
Botnick : banjo
James
Burton : dobro
Jim
Fielder : basse
Bobby
West : basse
Charlie
Chin : banjo
Norris
Badeaux : saxophone
baryton sur Good Time Boy
Hal
Blaine : batterie
Merry
Clayton : chant
James
Burton : Dobro, guitare
David
Crosby : chœur sur Rock & Roll Woman
Jim
Gordon : batterie
Doug
Hastings : guitare
Brenda
Holloway : chant
Patrice
Holloway : chant
Jim
Horn : clarinette
Gloria
Jones : chant
Carol
Kaye : basse
Shirley
Matthews : chant
Harvey
Newmark : basse
Gracia
Nitzsche : chant
Chris
Sarns : guitare
Russ
Titelman : guitare
Mon
avis : Il est parfaitement incroyable de
constater à quel point les années 60 et 70 ont put nous donner d’aussi bons
groupes, et ce, en quantité inimaginable aujourd’hui. Cependant, ce qui est
dommage, à mon avis, c’est que bon nombre d’entre eux sont tombés dans l’oubli
depuis longtemps alors qu’ils auraient mérité un tout autre sort. Prenez par
exemple les Buffalo Springfield : qui, en 2016, les connaît ? Franchement, à
part les amateurs et les spécialistes, pas grand monde. Et pourtant, quel
groupe formidable il fut en son temps. Certes, il n’eut pas une longue durée de
vie – deux ans, ce n’est pas grand-chose – mais en ces quelques mois
d’existence, celui-ci sortit trois bons albums et quelques petits bijoux
inoubliables. Et, en parlant d’album, leur deuxième, Buffalo Springfield
Again est incontestablement le meilleur… Formé par Stephen Stills et
Neil Young, ce dernier venant tout juste de débarquer aux USA, en 1966, le
groupe se fit rapidement connaître avec un hit que chacun à au moins une fois
écouter dans sa vie, For what it’s Worth, repris dans un nombre
incalculables de longs métrages se déroulants dans les sixties. L’année
suivante, ce fut donc leur deuxième album, ce Buffalo Springfield Again à
la pochette vraiment bof, mais superbe, du point de vu musical, de bout en
bout. Car aux compositions du duo Stills/Young, déjà en grande forme à leurs
débuts, ce joignirent celles du troisième larron de la foire, l’excellent et
méconnu Richie Furay, qui aurait probablement mérité de connaître une carrière
aussi prestigieuse que celle des deux autres – plutôt que de finir pasteur dans
un quelconque trou perdu du Colorado, véridique ! Le tout donnant un très bon
album, assez éclectique sans temps morts, ou l’on ne s’ennuie pas une seconde,
tant la qualité des compositions est de haut niveau. Certes, l’on regrettera
peut être que le son ne soit pas excellent mais tout le monde, en 1967, n’avait
pas accès aux meilleurs studios d’enregistrement comme de nos jours. Cependant,
même ainsi, ce Buffalo Springfield Again, malgré un son moyen et
une durée assez courte n’en reste pas moins inoubliable et ce laisse écouter
encore et encore avec un grand plaisir. Entre un Neil Young déjà enchanteur
avec un Mr Soul rentre dedans et un Broken Arrow plus
pop, un Stills tout bonnement excellant, Bluebird et son
banjo, Hung Upside Down et Rock & Roll Woman,
ainsi qu’un Richie Furay inspiré, A Child's Claim to Fame, on se
retrouve au final avec un album certes typique de l’époque, mais néanmoins de
grande qualité et qui laisse déjà présager de ce que donnerons les carrières
futures des deux leaders, Stills et Young, que cela soit en solo ou en groupe –
CSN&Y – c'est-à-dire, du tout bon…
Points
Positifs :
- Le
meilleur album, incontestablement, de Buffalo Springfield, groupe éphémère de
la fin des années 60 mais qui n’en fut pas moins grandiose, au vu de ses
compositions et de la qualité intrinsèque de ses membres, particulièrement,
bien entendu, le grand Neil Young mais aussi Stephen Stills.
-
Si Neil Young nous livre trois merveilles incontestables et que Stephen Stills
n’est pas en reste, faisant preuve de tout son talent, force est de constater
que Richie Furay, nettement moins connu que ses deux compères, n’est pas en
reste et nous livre quelques belle pépites dans cet opus.
-
Un opus quasiment parfait de bout en bout et qui possède quelques titres
imparables comme Mr Soul, Broken Arrow, Bluebird, Hung Upside Down, Rock & Roll Woman
mais aussi A Child's Claim to Fame.
Points
Négatifs :
-
Dommage que le groupe n’ai pas disposer d’un studio d’enregistrement digne de
ce nom, car bon, comment dire, si ces derniers n’étaient pas légions à l’époque,
d’autres groupes, plus chanceux, ont put en bénéficier et cela se remarque fortement.
-
Il faut reconnaitre que le son accuse fortement son age et que, par la force
des choses, cela risque de déplaire a un public plus jeune ou peu habitué du
rock californien de la fin des années 60.
-
Désolé mais la pochette est tout bonnement hideuse…
Ma
note : 8/10