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lundi 31 juillet 2023

Dragon Ball – Tome 32


Dragon Ball – Tome 32
 
Sans comprendre comment cela est possible, Kibito est réapparu. Immédiatement, il détecte l’aura de Kaio Shin, qui est toujours vivant mais à peine. Arrivé à ses côtés, Kibito le soigne, puis tous deux partent ensuite à la recherche de Gohan et le soignent à son tour après l’avoir emmené dans leur monde. En fait, Kaio Shin a une idée : demander à Gohan de s’emparer de la Z Sword, une épée légendaire coincée dans un rocher et qu’aucun Kaio Shin n’a jamais réussi à retirer depuis qu’elle a été plantée là. On raconte que l’arme permettrait d’obtenir une puissance incommensurable... Pendant ce temps-là, sur Terre, le sorcier Babidi utilise ses pouvoirs pour transmettre un message directement dans l’esprit de tous les humains : il leur montre une image de Piccolo, de Trunks et de Goten, et demande qu’on lui fournisse toute information qui lui permettrait de les retrouver, sinon quoi il détruira toutes les villes qu’il croisera en attendant. D’ailleurs, il en fait la démonstration en demandant à Majin Boo d’anéantir tous les habitants de la ville la plus proche, avant que le monstre ne rase totalement les lieux. Au sanctuaire, Goku décide de laisser faire le monstre en pensant ressusciter tout le monde plus tard grâce aux Dragons Balls. En attendant, il va tenter d’apprendre à Trunks et Goten une technique qui les rendra surpuissants et en mesure de battre Majin Boo : la fusion...
 

Dragon Ball – Tome 32
Scénariste : Akira Toriyama
Dessinateur : Akira Toriyama
Genre : Shônen
Type d'ouvrage : Aventure, Action
Titre en vo : Doragon Bōru vol. 32
Parution en vo : 02 octobre 1992
Parution en vf : 15 octobre 2014
Langue d'origine : Japonais
Editeur : Glénat
Nombre de pages : 228
 
Mon avis :
 Alors que nous approchons à grand pas de la conclusion de Dragon Ball qui, faut-il le rappeler, restera comme étant un des mangas les plus cultes de tous les temps – principalement, il faut le reconnaitre, pour celles et ceux de ma génération qui l’auront découvert par le biais de son adaptation animée dans les années 80 et 90 – il est difficile de ne pas admettre que si, jusque là, l’œuvre du sieur Akira Toriyama était presque un sans faute, il en est tout autrement de son dernier arc narratif, celui de Boo, un arc qui, s’il avait bien débuter, est depuis bien tombé, qualitativement parlant… Ainsi, le trente-et-unième tome de Dragon Ball avait largement annoncé la couleur : certes, le sacrifice, inutile au demeurant, de Vegeta avait marqué les esprits, certes, la conclusion du Tenkaishi Budokai était plutôt amusante, mais bon, en dehors de cela, que restait-il si ce n’est un affrontement inutile et décevant entre Vegeta et Goku, un nouveau méchant, Boo, a l’apparence ridicule et sans le moindre but, quand aux dessins, même le maitre Toriyama s’y était mis, étant un poil moins précis que d’habitude. Et donc, sans grande surprise, ce nouveau tome de Dragon Ball, le trente-deuxième, donc, est dans la même lignée et si, effectivement, il y a quelques bonnes choses et que, dans les grandes lignes, les fans les plus ultras du manga y trouveront probablement leur compte, nous sommes loin, très loin même de l’excellence auquel on était habitué jusqu’ici… Et puis, histoire d’enfoncer le clou, il y a cette histoire de fusion, probablement une des idées les plus navrantes du mangaka, un truc idiot auquel je n’ai jamais adhérer, quand à l’entrainement de Gohan dans le monde des Kaio, sincèrement, je pense qu’il est inutile de tirer sur une ambulance tellement on frôle le ridicule ! Reste, curieusement, la seule bonne chose de ce trente-deuxième tome, je veux parler de la relation qui se fait entre Boo et Mr Satan : ce dernier étant ce qu’il est et le premier étant débile, la rencontre entre les deux personnages accouche de scènes franchement drôles et décalées qui apportent une belle bouffée d’air frais dans ce marasme ambiant. L’humour au secours de Dragon Ball, un humour absent depuis si longtemps ? Oui, c’est un peu cela, aussi incroyable que cela puisse paraitre…
 

Points Positifs
 :
- Malgré ces défauts, ce trente-deuxième volet de Dragon Ball possède tout de même suffisamment d’éléments qui ont de quoi ravir les fans du manga les plus ultras du manga, surtout que, une fois de plus, il se passe pas mal de choses dans ce tome.
- Un humour omniprésent par le biais de la rencontre entre Boo et Mr Satan, ce qui nous apporte tout un tas de scènes franchement amusantes entre les deux compères.
- Après un petit passage à vide dans le tome précédent, Akira Toriyama nous revient en forme ici et, ma foi, ses dessins sont de toute beauté, ce qui est une bonne nouvelle !
- Naturellement, ceux qui, comme moi, ont connu Dragon Ball par le biais de son adaptation animé dans les années 80 seront conquis par les aventures de Goku et compagnie.

Points Négatifs :
- La fusion est tout de même l’idée la plus débile que l’on nous a pondu dans tout le manga et je ne parle même pas de la manière dont les deux protagonistes doivent procéder pour fusionner – eh oui, tout l’humour ne fonctionne pas !
- L’entrainement de Gohan dans le monde des Kaio est un véritable plantage. Non seulement cela n’apporte rien mais, en plus, celui-ci confirme à nouveau que ses nouveaux personnages inventés pour l’occasion sont franchement inutiles…
- Nous pondre un méchant sans but, sans charisme, cela ne pouvait pas fonctionner et il faut reconnaitre que Boo se trouve à des années lumières d’antagonistes comme le Roi Démon Picolo, Vegeta, Freezer ou Cell.

Ma note : 6,5/10

dimanche 30 juillet 2023

Dragon Ball – Tome 31


Dragon Ball – Tome 31
 
Au Tenkaishi Budokai, C-18 se retrouve en finale contre Mister Satan et Mighty Mask, déguisement dans lequel se trouvent en réalité Trunk et Goten. Sans faire aucunement attention au champion du monde en titre, la cyborg et les Saiyans s’engagent dans un duel impressionnant. Pendant ce temps-là, Gohan est en train de livrer son combat contre Dabra, mais le Saiyan ne parvient pas à prendre le dessus, ce qui horripile Végéta. Ce dernier ne se prive d’ailleurs pas de le faire savoir, et Dabra se rend alors compte que Végéta possède un cœur très fortement vicié. Le duel est donc interrompu et le sorcier Babidi lance un sort pour s’emparer de l’esprit de Végéta. A son tour, celui-ci se retrouve donc possédé par le sorcier maléfique qui les téléporte ensuite en plein milieu de l’arène du Budokai qui vient juste de se terminer. Babidi tente de donner des ordres à Végéta, mais ce dernier a gardé suffisamment de contrôle pour faire ce qu’il a envie. En réalité, il s’est laissé piéger exprès pour obtenir la puissance nécessaire pour vaincre Goku. Pour pousser son rival de toujours à l’affronter, Végéta lance alors une vague d’énergie qui termine dans le public, ravageant un gradin entier et faisant des dizaines de morts. Le duel entre les deux Saiyans est inévitable. Kaio Shin tente de s’interposer car il sait que le monstre Majin Boo sera rapidement ressuscité dès que le combat commencera, mais Goku lui fait comprendre qu’il n’hésitera pas à attaquer. Kaio Shin se retire et, tandis que les deux plus puissants Saiyan existants se lancent dans leur ultime duel, lui et Gohan retourne à l’intérieur du vaisseau de Babidi pour tenter de tout détruire avant le réveil du monstre...
 

Dragon Ball – Tome 31
Scénariste : Akira Toriyama
Dessinateur : Akira Toriyama
Genre : Shônen
Type d'ouvrage : Aventure, Action
Titre en vo : Doragon Bōru vol. 31
Parution en vo : 04 août 1992
Parution en vf : 03 juin 2014
Langue d'origine : Japonais
Editeur : Glénat
Nombre de pages : 228
 
Mon avis :
 Depuis le vingt-neuvième tome de ce cultissime manga qu’est Dragon Ball, œuvre du sieur Akira Toriyama, nous avons abordé ce qui est l’ultime arc narratif de la saga, je veux, bien entendu, parler de celui de Boo. Naturellement, il est inutile de revenir sur ce que je pense de celui-ci ou, plus précisément, sur les souvenirs que j’ai gardés de cet arc narratif lors de la diffusion de l’adaptation animée de Dragon Ball dans les années 90 : pas grand-chose de bien, si je dois être objectif, au point même que j’avais fait l’impasse, à l’époque, sur la conclusion de celui-ci… Cependant, à la lecture des deux premiers volets du Cycle de Boo, je dois légèrement modifier mon jugement : certes, ce n’est pas exceptionnel, certes, cela sent un peu le déjà-vu et on se dit que le mangaka tournait en rond, certes, l’idée de départ de celui-ci de faire de Gohan le nouvel héros de la saga est rapidement abandonnée, mais, tout de même, c’est loin d’être mauvais, du moins, pour le moment… Et donc, dans ce nouveau tome de Dragon Ball, après une rapide conclusion du Tenkaishi Budokai où Mr Satan brille une fois de plus par sa lâcheté légendaire, nous avons droit a une grosse surprise puisque Vegeta se laisse manipuler par le sorcier Babidi afin de pouvoir affronter Goku. Personnellement, je trouve cette idée franchement débile, surtout au vue de l’évolution du Prince des Saiyans jusque là, quand au fameux combat entre ce dernier et Goku, force est de constater qu’il n’apporte pas grand-chose, bien au contraire. Ensuite, il y a le réveil attendu de Boo et, là aussi, cela ne m’emballe guère puisque je ne suis pas fan de ce personnage qui possède tout de même une apparence que l’ont peut qualifier sans peine de grotesque. Ajoutons à cela une certaine baisse de régime artistique du sieur Toriyama et vous comprenez que ce trente-et-unième tome Dragon Ball ne m’aura pas laissé un grand souvenir… quoi que, il y a bien le sacrifice grandiose – mais inutile – de Vegeta face à Boo qui, ma foi, ne laissera pas les fans indifférents, mais cela est peu, finalement, quand on pense à la qualité du manga jusque là…
 

Points Positifs
 :
- Si les défauts se font de plus en plus présents, ce trente-et-unième volet de Dragon Ball possède tout de même suffisamment d’éléments qui ont de quoi ravir les fans du manga, surtout que, scénaristiquement, il se passe pas mal de choses dans ce tome.
- Le sacrifice de Vegeta, bien entendu, qui est peut-être inutile mais qui a de quoi marquer grandement les esprits.
- La fin du Tenkaishi Budokai qui, sans grande surprise, est une petite bouffée d’air frais dans ce tome, ce, grâce à l’inimitable Mr Satan.
- Boo est enfin réveiller et les choses sérieuses commencent !
- Naturellement, ceux qui, comme moi, ont connu Dragon Ball par le biais de son adaptation animé dans les années 80 seront conquis par les aventures de Goku et compagnie.

Points Négatifs :
- Vegeta qui se laisse manipuler par le sorcier Babidi afin de pouvoir lutter contre Goku, désolé mais je ne suis absolument pas fan de cette idée.
- Le fameux combat entre les deux Saiyans est loin de marquer les esprits.
- Boo possède tout de même une apparence franchement grotesque et tient davantage du débile profond qu’autre chose…
- Kaio Shin confirme ici qu’il ne sert absolument à rien !
- Pour ce qui est des dessins, si, dans l’ensemble, Akira Toriyama livre une prestation correcte, il faut reconnaitre que certaines planches sont nettement en dessous de ce qu’il nous avait habitués jusqu’ici.

Ma note : 7/10

samedi 29 juillet 2023

Dragon Ball – Tome 30


Dragon Ball – Tome 30
 
Le tournoi de la catégorie adulte va bientôt commencer. Pendant la pause, Goku et tous les autres se rendent dans la partie réservée aux sélectionnés et en profitent pour se restaurer. Après manger, ils croisent deux des autres concurrents pour le moins particuliers : ils ne sont clairement pas humains, et l’un d’eux flotte même au-dessus du sol. Ce dernier aborde Goku : il sait qui il est et lui annonce vouloir l’affronter, simplement dans le but de tester sa force. Les tirages au sort ont lieu et les premiers matchs sont définis. Parmi les rencontres attendues, il y a celle de Piccolo contre l’étranger qui a parlé à Goku, Shin, mais également l’acolyte de ce dernier, Kibito , contre Gohan, ainsi que Végéta contre Goku ! Lorsque vient le premier de ces affrontements, Piccolo jauge son adversaire et, contre toutes attentes, décide d’abandonner ! De retour en coulisse, Piccolo demande à Shin qui il est vraiment. Piccolo pense qu’il s’agit peut-être de Dai Kaio, le chef des quatre Kaio cardinaux, mais ce n’est pas le cas : il s’agit carrément de Kaio Shin, le dieu au-dessus de Dai Kaio, que Piccolo croyait n’être qu’une légende ! Et ce dernier est sur Terre pour une mission de première importance, qui concerne l’univers tout entier. Et pour commencer, il a besoin que Gohan se transforme en super Saiyan...
 

Dragon Ball – Tome 30
Scénariste : Akira Toriyama
Dessinateur : Akira Toriyama
Genre : Shônen
Type d'ouvrage : Aventure, Action
Titre en vo : Doragon Bōru vol. 30
Parution en vo : 10 juin 1992
Parution en vf : 02 avril 2014
Langue d'origine : Japonais
Editeur : Glénat
Nombre de pages : 228
 
Mon avis :
 Dans le tome précédent du manga oh combien culte du sieur Akira Toriyama, un énième arc narratif de Dragon Ball débutait et, mine de rien, celui-ci avait son importance puisqu’il s’agissait du tout dernier de la saga, je veux, bien entendu, parler de celui de Boo. Cependant, comme j’avais eu l’occasion de le dire dans ma critique de ce vingt-neuvième tome, je n’attendais pas grand-chose de ce dernier cycle : il faut dire, pour rappel, que ce fut celui-ci qui, il y a bien longtemps, me fit abandonner le visionnage de l’adaptation animée de Dragon Ball et que, depuis la parution initiale du manga, le Cycle de Boo est considéré comme étant le moins réussi du manga – ce qui explique, accessoirement, qu’a l’issu de celui-ci, le mangaka abandonna les frais… Quoi qu’il en soit, malgré mes craintes pour le moins justifiées et mon peu d’enthousiasme, je dois reconnaitre que j’ai été agréablement surpris par le tome précédent : mise en avant de Gohan, apparition de Videl, humour omniprésent, bref, il y avait de quoi faire selon moi, hélas, comme je l’avais également souligné, cela n’allait pas durer quoi que, après lecture de ce trentième volet de Dragon Ball, je dois admettre que, pour le moment, qualitativement parlant, cela reste plutôt correct ! Ainsi, entre le début du tournoi d’arts martiaux qui reste tout de même un des éléments récurrents du manga, l’affrontement dantesque entre Videl et Spopovich et le coup de théâtre qui met fin au tournoi – du moins, pour une partie des protagonistes – tandis qu’une terrible menace semble faire son apparition, il y a de quoi faire dans ce nouvel album et, ma foi, pour le moment, l’intrigue proposée par le sieur Toriyama tient plutôt la route. Bien entendu, la suite tombera dans l’exagération la plus totale mais bon, comme je le dis souvent, ceci est une autre histoire…
 

Points Positifs
 :
- Sans être époustouflant, pour le moment, les débuts du dernier arc narratif de Dragon Ball tient plus ou moins la route et se laisse suivre avec plaisir. Bien entendu, pour le moment, nous ne sommes pas encore tombés dans le traditionnel combat interminable contre le grand méchant…
- L’affrontement entre Videl et Spopovich a de quoi marquer les esprits, surtout que la première reçoit une raclée monumentale de son adversaire !
- Une sombre menace pointe le bout de son nez – qui donc est l’inquiétant Boo – une fois qu’apparaissent le sorcier Babidi et Dabra, le seigneur des Enfers.
- Mr Satan est toujours là pour nous offrir son humour que l’on peut qualifier de particulier…
- Pour ce qui est des dessins, force est de constater que le sieur Akira Toriyama n’a jamais aussi bien dessiner : bien entendu, on connait son talent depuis les débuts du manga, de même, au fil des tomes, celui-ci s’était affiné, mais ici, que dire si ce n’est que, entre des décors omniprésents et travaillés – chose absente dans bon nombre de mangas modernes – et certaines planches magnifiques, il y a de quoi satisfaire nos yeux !
- Naturellement, ceux qui, comme moi, ont connu Dragon Ball par le biais de son adaptation animé dans les années 80 seront conquis par les aventures de Goku et compagnie.

Points Négatifs :
- Piccolo qui abandonne un combat avant même le début, c’est probablement un des trucs les plus ridicules de tout le manga !
- On nous présente Kaio Shin comme un cadors, cependant, avant même la fin de ce trentième volet, on le voit plus faire une tête d’ahuri qu’autre chose.
- Le tournoi des arts martiaux qui promettait énormément est trop rapidement mis de coté…
- On sent déjà venir, pour la énième fois, un grand méchant de la mort qui tue quasiment invincible et qui provoquera un affrontement interminable – bref, on peut oublier l’originalité…

Ma note : 7,5/10

Dragon Ball – Tome 29


Dragon Ball – Tome 29
 
Un peu plus de sept ans viennent de s’écouler depuis le combat contre Cell. Après la mort de Goku, la vie a continué : Chichi, qui était enceinte, a donné naissance à un second fils, Goten, et Gohan a désormais 16 ans. Ce dernier a suivi jusqu’ici sa scolarité chez lui mais, pour les études supérieures, il s’est inscrit dans un lycée en ville. Sa mère l’a prévenu : il ne doit pas montrer sa force s’il veut rester anonyme et tranquille. Mais à chaque fois qu’il est venu en ville pour les formalités d’inscriptions, Gohan n’a pu s’empêcher d’arrêter des criminels, en pensant tout de même à se transformer en super Saiyan pour ne pas être reconnu par la suite. Aujourd’hui, c’est le premier jour de cours pour le jeune homme. Cette fois encore, il tombe sur un hold-up et intervient, après quoi il tombe sur une jeune fille, Videl, la fille de Satan, qui était venue elle aussi aider la police comme à son habitude. Suite à cette rencontre et à quelques maladresses de Gohan en cours de sport, Videl commence à avoir des soupçons sur le jeune homme : serait-ce lui le Guerrier Doré, le justicier dont toute la ville parle en ce moment ? Pour être plus discret, Gohan demande donc à Bulma de lui fabriquer un costume qui apparaitrait en une fraction de seconde quand il en aurait besoin. Habillé comme un super-héros de série télé, Gohan poursuit sa carrière de justicier, mais Videl continue malgré tout de tenter de le confondre...
 

Dragon Ball – Tome 29
Scénariste : Akira Toriyama
Dessinateur : Akira Toriyama
Genre : Shônen
Type d'ouvrage : Aventure, Action
Titre en vo : Doragon Bōru vol. 29
Parution en vo : 10 mars 1992
Parution en vf : 01 février 2014
Langue d'origine : Japonais
Editeur : Glénat
Nombre de pages : 228
 
Mon avis :
 Dans ma critique précédente de cet excellent et cultissime manga qu’est Dragon Ball, j’avais conclu celle-ci en affirmant qu’il était fort dommage que le mangaka, le sieur Akira Toriyama, n’ai pas achevé sa création à ce moment là. Après tout, après lecture du Cycle de Cell, il était évidant que non seulement celui-ci était un des tous meilleurs de la saga dans son intégralité mais que, surtout, avec la mort de Goku et la montée en puissance de Gohan qui s’était avérée être devenu le protagoniste le plus puissant de la saga, la conclusion aurait été logique… Pourtant, comme vous l’avez compris, ce n’était pas tout à fait finit et sans aborder le cas d’un certain Dragon Ball Super qui se déroule actuellement et qui, qualitativement parlant, ne tient pas la comparaison avec son glorieux ainé, Dragon Ball en avait encore pour quelques tomes et allait, pour le pire et le meilleur, se conclure avec la Saga de Boo… Pour être tout à fait honnête, lors de la diffusion de l’adaptation animée de Dragon Ball, a la fin des années 80 et au début des années 90, j’ai abandonner les frais avec cette saga : méchant a l’apparence ridicule, énième montée en puissance de certains protagonistes auquel on ne croit plus, utilisation des mêmes grosses ficelles scénaristiques sans oublier le pire, c’est-à-dire, le retour au premier plan de Goku alors qu’Akira Toriyama souhaitait faire de Gohan le nouvel héros de la saga. Bref, trop c’était trop pour moi et j’avais fait mes adieux à un manga qui m’avait tant plu mais aussi, tant déçu… Cependant, avec la relecture de l’intégralité de Dragon Ball, je ne pouvais pas passer a coté de la Saga de Boo et même si je n’en n’attendais pas grand-chose, je me suis tout de même dit que peut-être celle-ci allait me proposer quelques bonnes surprises ? Après tout, l’espoir fait vivre… Et, quelle ne fut pas surprise en lisant ce vingt-neuvième tome de Dragon Ball de m’apercevoir que non seulement celui-ci était bon mais que, en plus, on pouvait même le qualifier de très bon ! Cela était-il en totale contradiction avec tout ce qu’ai affirmé auparavant ? En fait, non car cette fameuse Saga de Boo, elle commence plutôt bien avec un Gohan qui se la joue super-héros et qui est, effectivement, le protagoniste principal, le retour en grâce de l’humour, principalement par le biais du fameux Monsieur Satan apparu dans le Cycle de Cell et qui s’est avéré être une des grandes surprises, a mes yeux, de cette relecture du manga et un scénario qui, sans être époustouflant, n’en reste pas moins suffisamment réussi pour ravir les fans de Dragon Ball. Hélas, les problèmes finiront par arriver mais bon, ceci est une autre histoire et nous aurons le temps de l’aborder en temps et en heure…
 

Points Positifs
 :
- Si le dernier arc narratif de Dragon Ball n’a pas bonne presse – à raison – force est de constater que celui-ci débute pourtant fort bien et que ce vingt-neuvième tome de la saga ne laisse absolument pas présager de ce qui sera la suite. D’ailleurs, on peut qualifier ces débuts de bons voir de très bons !
- Quel dommage qu’Akira Toriyama n’ai pas put poursuivre avec son idée initiale de faire de Gohan le nouveau principal de la saga. Déjà, c’était logique, ensuite, il faut dire que, dans ce vingt-neuvième tome de Dragon Ball, Gohan s’en sort fort bien même si son costume de super-héros est plutôt ridicule.
- Le retour en force de l’humour et, ma foi, cela fait un bien fou dans une saga qui était devenue trop sérieuse en comparaison des débuts !
- Si Gohan occupe naturellement le devant de la scène, la petite nouvelle, Videl, marque les esprits, quant à Mr Satan, il est tout simplement génial !
- Pour ce qui est des dessins, force est de constater que le sieur Akira Toriyama n’a jamais aussi bien dessiner : bien entendu, on connait son talent depuis les débuts du manga, de même, au fil des tomes, celui-ci s’était affiné, mais ici, que dire si ce n’est que, entre des décors omniprésents et travaillés – chose absente dans bon nombre de mangas modernes – et certaines planches magnifiques, il y a de quoi satisfaire nos yeux !
- Naturellement, ceux qui, comme moi, ont connu Dragon Ball par le biais de son adaptation animé dans les années 80 seront conquis par les aventures de Goku et compagnie.

Points Négatifs :
- Le retour de Goku d’entre les morts afin de participer au tournoi des arts martiaux.
- Goten, le second fils de Goku : inintéressant au possible…
- Malheureusement, la mise en avant de Gohan ne durera pas et c’est un énorme problème !

Ma note : 8/10

mercredi 5 juillet 2023

Dragon Ball – Tome 28


Dragon Ball – Tome 28
 
Pour s’amuser un peu, Cell a décidé de révéler sa véritable puissance à Gohan. Comme le garçon ne maîtrise pas sa force, le monstre compte la faire exploser par la colère, et pour cela il veut donc s’en prendre aux amis de Gohan. Il commence par récupérer le paquet de senzu, afin qu’ils ne puissent plus se soigner, mais il n’a pas le temps d’en faire plus car C-16 s’approche de lui sans se faire remarquer et l’attrape par surprise. Le cyborg compte s’autodétruire et emporter Cell avec lui, mais lorsqu’il tente de déclencher le mécanisme, rien ne se passe. Ce n’est pas étonnant pour Krillin : lorsque C-16 a séjourné à Capsule Corp, le père de Bulma a retiré l’explosif du corps du Cyborg. Cell retourne alors la situation et détruit complètement le cyborg, à l’exception de la tête de ce dernier qui part rouler au pied de Satan et de l’équipe de TV. Ensuite, Cell met son plan à exécution : le bout de sa queue s’ouvre et en sortent 7 mini-Cell, un pour chacun des amis de Gohan. Les créatures s’élancent alors contre les autres, qui ne font pas du tout le poids...
 

Dragon Ball – Tome 28
Scénariste : Akira Toriyama
Dessinateur : Akira Toriyama
Genre : Shônen
Type d'ouvrage : Aventure, Action
Titre en vo : Doragon Bōru vol. 28
Parution en vo : 08 novembre 1991
Parution en vf : 01 novembre 2013
Langue d'origine : Japonais
Editeur : Glénat
Nombre de pages : 228
 
Mon avis :
 Exceptionnel, tout simplement ! Bien entendu, depuis les débuts du Cycle de Cell, j’ai eu l’occasion, à de multiples reprises, de vous dire tout le bien que je pensais de cet arc narratif de Dragon Ball, œuvre culte du sieur Akira Toriyama et qui nous propose, ici, probablement ce qui est un des derniers grands moments de son manga ! Naturellement, je ne vais pas revenir sur ce que j’ai put dire à de multiples reprises dans mes critiques précédentes, après tout, il est, probablement, inutile de me répéter, cependant, comment ne pas reconnaitre que cet arc narratif, même s’il reprend, dans les grandes lignes, les trames narratives habituelles du mangaka – c’est-à-dire, un grand méchant fait son apparition, nos héros s’entrainent pour devenir plus fort mais cela ne suffit pas, mais ce n’est pas grave puisque Goku viendra sauver les meubles – se démarque pas mal des autres par sa franche originalité, ses nombreux coups de théâtre et ses retournements de situations pour le moins innatendu. Et donc, ce dernier volet du Cycle de Cell confirme, définitivement, tout le bien que l’on pouvait penser de celui-ci : faisant suite à son prédécesseur, nous retrouvons donc Gohan face à Cell, un Gohan qui a beaucoup de mal à développer ses pouvoirs et qui va voir ses compagnons subir les foudres de son adversaire. Il faudra le sacrifice, marquant, de C-16, pour que notre jeune héros disjoncte littéralement et massacre un Cell rapidement dépassé, sauf que… sauf que, les choses sont un poil plus compliquées que prévues et, jusqu’au bout, le lecteur aura droit à quelques retournements de situations innatendu qui s’achèveront par le sacrifice de Goku et la destruction de Cell… Quasiment parfait de bout en bout, cet arc narratif s’achève donc de superbe manière et, quelque part, il est bien dommage que le manga ne ce soit pas terminer ici : Toriyama le souhaitait mais ses patrons, avides d’argent, l’ont fait continuer, ce, pour un résultat fatalement moins somptueux, mais bon, ceci, bien entendu, est déjà une autre histoire…
 

Points Positifs
 :
- La conclusion parfaite de ce qui est, avec du recul, un  des meilleurs arc narratifs de Dragon Ball : original de bout en bout, captivant, mettant en avant la quasi-totalité des protagonistes du manga, riche de nouveaux personnages charismatiques et sortant des sentiers battus puisque, pour une fois, ce n’est pas Goku qui sauve les meubles mais Gohan, le Cycle de Cell est le dernier grand arc narratif du manga !
- Le sacrifice de C-16, Gohan qui pête un câble et libère enfin son immense pouvoir, Cell massacré par celui-ci, le sacrifice de Goku, le début de la relation entre Krillin et C-18, bref, un volet riche en événements majeurs.
- Mr Satan nous montre que même s’il est un individu lâche et arrogant, il est tout de même capable de faire preuve de courage.
- Pour ce qui est des dessins, force est de constater que le sieur Akira Toriyama n’a jamais aussi bien dessiner : bien entendu, on connait son talent depuis les débuts du manga, de même, au fil des tomes, celui-ci s’était affiné, mais ici, que dire si ce n’est que, entre des décors omniprésents et travaillés – chose absente dans bon nombre de mangas modernes – et certaines planches magnifiques, il y a de quoi satisfaire nos yeux !
- Naturellement, ceux qui, comme moi, ont connu Dragon Ball par le biais de son adaptation animé dans les années 80 seront conquis par les aventures de Goku et compagnie.

Points Négatifs :
- Quel dommage, mais quel dommage que Dragon Ball ne ce soit pas achever ici…
- Cell se fait littéralement massacré mais il ne cesse de revenir, encore et encore, peut-être un peu trop ?!

Ma note : 8,5/10

mardi 4 juillet 2023

Dragon Ball – Tome 27


Dragon Ball – Tome 27
 
Il reste du temps mais Goku explique aux autres qu’il ne compte pas retourner dans la salle de l’esprit du temps car il n’en a pas besoin, mais qu’eux peuvent y aller s’ils le souhaitent car ils pourront encore progresser. Végéta est vexé lorsque Goku lui annonce le plus naturellement du monde qu’il est plus fort que lui. Goku compte passer les neuf prochains jours avant le Cell Game à se reposer avec Gohan, et tous deux repartent ensuite voir maître Karin. Goku lui demande d’évaluer sa puissance par rapport à celle de Cell. Pour ce faire, Goku commence à déployer son aura, mais Karin l’arrête avant qu’il ne détruise tout autour de lui. D’après ce qu’il a pu en voir et d’après Goku qui lui dit avoir déployé environ la moitié de son potentiel, Karin estime malgré tout que Cell est encore un cran au-dessus. Au palais du Tout-Puissant, Végéta et les autres ont ressenti la force de Goku et sont impressionnés par son niveau, ce qui veut dire qu’aucun d’entre eux n’est capable de le surpasser. Pourtant, Goku affiche un visage serein : cette estimation est la même que la sienne et il pense qu’il ne pourra pas gagner contre le monstre... Mais aurait-il un plan secret ? Puisque tous les combattants les plus forts ne peuvent pas rivaliser avec Cell, il semble pourtant qu’il ne reste aucun espoir pour la Terre. A moins que...
 

Dragon Ball – Tome 27
Scénariste : Akira Toriyama
Dessinateur : Akira Toriyama
Genre : Shônen
Type d'ouvrage : Aventure, Action
Titre en vo : Doragon Bōru vol. 27
Parution en vo : 07 août 1991
Parution en vf : 01 septembre 2013
Langue d'origine : Japonais
Editeur : Glénat
Nombre de pages : 228
 
Mon avis :
 Un véritable régal que de lire ce fameux Cycle de Cell car bon, comment dire, si celui-ci est, effectivement, plutôt bon pour ne pas dire excellent par moments, si celui-ci confirme parfaitement toutes les bonnes critiques que j’ai put lire à son sujet de la part des fans de Dragon Ball, quelque part, lire les différents tomes qui le composent me permet de me réconcilier de la plus belle des manières avec un manga que j’avais découvert, à la fin des années 80, par le biais de son adaptation animée, un manga que j’avais grandement apprécié lors de ses débuts, qui m’avait époustouflé lors du Cycle des Saiyans et qui, quelque part, malgré ses qualités, avait commencé a me lasser lors de celui de Freezer – la faute, bien entendu, a cet interminable affrontement entre ce dernier et Goku. Fatalement, lorsque l’adaptation animée était arrivée à Cell, pour ma part, le feu sacré était éteint et je préférais grandement d’autres mangas comme Saint Seiya ou Hokuto no Ken. Du coup, relire, redécouvrir Dragon Ball en 2023, c’est un pur régal, surtout quand, comme je l’ai souligné, cela me permet de constater par moi-même à quel point la saga de Cell était bonne ! Alors bien sur, on ne va pas se mentir, nous avons, encore une fois, droit à un affrontement interminable comme le sieur Akira Toriyama nous en propose régulièrement, cependant, là où, fatalement, cela finira par lasser grandement les lecteurs, ici, cela fonctionne encore, ce, par le biais de ce qui est peut-être les dernières bonnes idées du mangaka : mise en avant de tous ses protagonistes, même les plus anciens, nouveaux personnages importants, pas mal de coups de théâtre scénaristiques mais aussi, comme on peut le voir dans ce vingt-septième tome, le retour en force de l’humour – par le biais de l’arrivée d’un tout nouveau protagoniste, l’inimitable Monsieur Satan, grand guignol devant l’éternel – ainsi que le fait que, pour une fois, ce n’est pas Goku qui vaincra le grand méchant ! Une première, incontestablement, dans le manga puisque, même si le face à face entre notre héros et Cell occupe la quasi-totalité de ce vingt-septième tome, ce qui marque le plus les esprits, c’est l’abandon de Goku qui laisse sa place à… Gohan ! Une sacrée surprise ?! Oui et non car, quelque part, c’était le souhait d’Akira Toriyama qui souhaitait achever Dragon Ball par ce passage de témoin annoncé depuis longtemps. Naturellement, les choses ne se déroulèrent pas ainsi mais bon, avant cela, profitons encore de cet excellent arc narratif qui devra trouver sa conclusion dans le prochain tome !
 

Points Positifs
 :
- Depuis le début de l’arc de Cell, nous allons de surprises en surprises et il faut reconnaitre que cet arc narratif brille particulièrement par son originalité, ses nombreuses fausses pistes et autres retournements de situations. Ainsi, dans ce vingt-septième tome, il y a de quoi faire, une fois de plus, et si, bien entendu, l’affrontement entre Goku et Cell occupe le devant de la scène, il n’est pas le seul…
- Le comportement singulier de Goku tout au long de ce volume qui trouve une explication lorsqu’il abandonne le combat afin de laisser sa place a… Gohan !
- Le comportement de Goku est tout de même discutable et Piccolo fait bien de lui faire remarquer !
- Le retour en force de l’humour avec l’apparition d’un personnage complètement débile, je veux, bien entendu, parler de Mr Satan ! Prétentieux, lâche, le prétendu homme le plus fort du monde va nous faire exploser de rire… et laisser dubitatif les autres protagonistes.
- Pour ce qui est des dessins, force est de constater que le sieur Akira Toriyama n’a jamais aussi bien dessiner : bien entendu, on connait son talent depuis les débuts du manga, de même, au fil des tomes, celui-ci s’était affiné, mais ici, que dire si ce n’est que, entre des décors omniprésents et travaillés – chose absente dans bon nombre de mangas modernes – et certaines planches magnifiques, il y a de quoi satisfaire nos yeux !
- Naturellement, ceux qui, comme moi, ont connu Dragon Ball par le biais de son adaptation animé dans les années 80 seront conquis par les aventures de Goku et compagnie.

Points Négatifs :
- Bien entendu, on se coltine encore un affrontement interminable face à un adversaire surpuissant qui change d’apparence afin de devenir de plus en plus fort.
- Tout le monde augmente grandement ses pouvoirs mais, une fois de plus, Goku – et, pour une fois, Gohan – apparait comme étant au-dessus du lot. Un peu dommage de ne pas donner davantage de puissance à Piccolo, Vegeta et compagnie…

Ma note : 8/10

samedi 1 juillet 2023

Dragon Ball – Tome 26


Dragon Ball – Tome 26
 
Végéta et Trunks viennent de sortir de la salle du temps du palais du Tout-Puissant. Trunks apprend aux autres que son père a dépassé le stade de Super Saiyan deux mois seulement après y être entré. Ce dernier se montre d’ailleurs très sûr de lui et annonce à Goku qu’il ne sert à rien qu’il entre dans la salle à son tour. Végéta est en effet persuadé d’avoir dépassé le niveau de Cell. Goku lui annonce néanmoins que le monstre a absorbé l’un des cyborgs et qu’il a donc décuplé sa puissance. Tandis que Goku et Gohan font leur entrée dans la salle, Végéta et Trunks se rendent donc face à Cell. Ce dernier est quant à lui en train de chercher à mettre la main sur le second cyborg, C-18. Celle-ci s’est réfugiée dans un petit archipel où elle reste cachée. Cell, depuis le ciel, l’exhorte à se montrer sinon quoi il détruira les îles une par une. C-16 pense qu’il bluffe et qu’il ne prendra pas le risque de détruire C-18 sans pouvoir l’absorber, mais Cell met alors sa menace à exécution et commencer à rayer les ilots de la carte l’un après l’autre. Au moment où C-18 s’apprête à se montrer car son île va à son tour être détruire, Végéta arrive face à Cell...
 

Dragon Ball – Tome 26
Scénariste : Akira Toriyama
Dessinateur : Akira Toriyama
Genre : Shônen
Type d'ouvrage : Aventure, Action
Titre en vo : Doragon Bōru vol. 26
Parution en vo : 10 juin 1991
Parution en vf : 04 juillet 2013
Langue d'origine : Japonais
Editeur : Glénat
Nombre de pages : 228
 
Mon avis :
 Les tomes défilent et même si, incontestablement, nous approchons petit à petit du final de cet excellent manga qu’est Dragon Ball, force est de constater que, pour le moment, il y a encore de quoi faire et que, pour ce qui est de cet avant dernier cycle de la saga, nous flirtons, allègrement, peut-être pas avec l’excellence – je persiste à dire que le meilleur cycle du manga fut celui des Saiyans – mais avec du bon, du très bon même ! Il faut dire qu’avec cette saga de Cell – ou des Cyborgs, suivant les gouts de chacun – Akira Toriyama, pour une fois, sort un peu des sentiers battus même si, dans les grandes lignes, tout cela reste une histoire où nos héros affrontent des adversaires de plus en plus puissants : ainsi, dans celui-ci, il y a pas mal de nouveaux protagonistes, il faut pas mal de temps avant de comprendre qui va être le nouveau méchant principal, d’anciennes têtes d’affiches ont le droit à leur petit moment de gloire et, pour une fois, Goku n’est pas le seul à être mis en avant… Ainsi, entre Piccolo, Trunks, Vegeta ou Gohan, on se rend compte, avec surprise, que tout ce petit monde, possède plus ou moins le même niveau de force – ce qui n’était plus arrivé depuis des lustres par ailleurs ! Et donc, après un vingt-cinquième tome où Piccolo occupait le devant de la scène, dans ce nouvel album, c’est au tour, principalement, de Vegeta et de Trunks d’affronter Cell et, ma foi, force est de constater que les amateurs d’action pure et dure et de combats spectaculaires vont en avoir pour leur argent : bien évidement, à chaque fois qu’un nouvel héros semble prendre le dessus sur Cell, celui-ci réussit à se transformer et a prendre l’avantage, cependant, malgré la montée en puissance de ce dernier et le fait que l’on commence à se dire que, tôt ou tard, Goku va sauver les meubles comme d’habitude, pour le moment, le scénario est suffisamment captivant pour nous tenir en haleine et, ma foi, c’est le principal. Bref, comme j’ai coutume de le dire : vivement la suite !
 

Points Positifs
 :
- Sans être le meilleur volet de l’arc de Cell, ce vingt-sixième tome de Dragon Ball n’en reste pas moins suffisamment bon pour satisfaire les fans du manga. Il faut dire que Cell est un protagoniste puissant et charismatique, que sa dernière forme est franchement réussie et que les affrontements divers qui le mettent en opposition avec divers de nos héros méritent le détour !
- Après Piccolo, c’est au tour de Vegeta et de Trunks de combattre Cell et, ma foi, celui-ci est tout autant spectaculaire.
- Pour ce qui est des dessins, force est de constater que le sieur Akira Toriyama n’a jamais aussi bien dessiner : bien entendu, on connait son talent depuis les débuts du manga, de même, au fil des tomes, celui-ci s’était affiné, mais ici, que dire si ce n’est que, entre des décors omniprésents et travaillés – chose absente dans bon nombre de mangas modernes – et certaines planches magnifiques, il y a de quoi satisfaire nos yeux !
- Naturellement, ceux qui, comme moi, ont connu Dragon Ball par le biais de son adaptation animé dans les années 80 seront conquis par les aventures de Goku et compagnie.

Points Négatifs :
- Et c’est encore partit pour des affrontements interminables…
- Une fois de plus, on peut être dubitatif devant cette éternelle montée en puissance des protagonistes, surtout que celle-ci survient très rapidement.
- Comme je l’avais souligné dans ma critique précédente, on se coltine encore un grand méchant qui change d’apparence à chaque fois qu’il gagne des pouvoirs… Cela sent du déjà-vu…

Ma note : 7,5/10