Pages

Affichage des articles dont le libellé est Björk. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Björk. Afficher tous les articles

mercredi 3 août 2016

Homogenic


Homogenic
 
Björk
 
1 - Hunter (Björk) 04:15
2 - Jóga (Björk, Sjón) 05:05
3 - Unravel (Björk, Guy Sigworth) 03:21
4 - Bachelorette (Björk, Sjón) 05:12
5 - All neon like (Björk) 05:53
6 - 5 years (Björk) 04:29
7 - Immature (Björk) 03:06
8 - Alarm call (Björk) 04:19
9 - Pluto (Björk, Mark Bell) 03:19
10 - All is full of love (Björk) 04:33
 

Homogenic
Musicien : Björk
Parution : 18 septembre 1997
Enregistré : Août 1996 – Août 1997
Durée : 43:35
Genre : Electronica, Trip Hop, Art Pop, Ethereal Wave
Producteur : Björk, Mark Bell, Guy Sigsworth, Howie B
Label : One Little Indian
 
Musiciens :
Björk : chant, claviers
Mark Bell : claviers
Guy Sigsworth : clavecin, orgue, claviers
Alasdair Alloy : glass harmonica
Steve Henderson : timbales
Yasuhiro Kobayashi : accordéon
Trevor Morais : batterie, batterie électronique
Frank Ricotti : caisse claire
Helen Tunstall : harpe
Mike Brittain : basse
Paul Gardhaim : basse
Chris Laurence : basse
Paul Pritchard : basse
Jeffrey Bryant : trompette
Mike Thompson : trompette
Roger Chase : alto
Hrund Hardardottir : alto
Bill Hawkes : alto
Peter Lale : alto
George Robertson : alto
Moeidur Anna Sigurdardottir : alto
Roger Garland : violon
Wilfred Gibson : violon
Perry Mason : violon
Jim McLeod : violon
Perry Montague-Mason : violon
Peter Oxer : violon
Maciej Rakowski : violon
Una Sveinbjarnardottir : violon
Sif Tulinius : violon
Gavyn Wright : violon
Vaughan Armon : violon
Sigurbjorn Bernhardsson : violon
Mark Berrow : violon
Ben Cruft : violon
Sigrun Edvaldsdottir : violon
Sigurdur Bjarki Gunnarsson : violoncelle
Paul Kegg : violoncelle
Helen Liebmann : violoncelle
Martin Loveday : violoncelle
Jon R. Ornolfsson : violoncelle
John Tunnell : violoncelle
Isobel Griffiths : chef d’orchestre
 
Mon avis : 
De l’Islande, cette ile lointaine mais n’en faisant pas moins partie de l’Europe, que sait-on en général ? Et bien, tout d’abord, certains vous parlerons de ces paysages désolés, de ces volcans, d’autres, des vikings, bien entendu, quelques uns, amateurs de football pourront vous parler des exploits de la sélection nationale ces dernières années… mais au final, ce qui est sur, c’est qu’en fait, l’Islande est un pays mal connu, ce qui est dommage d’ailleurs, ne serais ce que pour ses somptueux paysages. Mais il existe une autre raison de connaître cette ile, et pas des moindres ; cette part de notoriété, l’Islande la doit a une curieuse petite chanteuse qui, depuis une vingtaine d’années, a su se faire connaître bien au-delà de ses frontières et qui accessoirement, a permis a bon nombre de ses fans de savoir situer cette ile sur un planisphère. Cette chanteuse, vous l’avez deviné, c’est Björk. Je ne vais pas revenir sur la fructueuse carrière de l’islandaise, excentrique pour certains, « exotique » pour d’autres, mais au talent certain, que ce soit a ses débuts ou encore maintenant. Ce qui est certain, c’est qu’avec cet Homogenic, son troisième album en solo, paru en 1997 (hum, comme le temps passe vite, j’ai encore l’impression que c’était hier), Björk a probablement livrer son opus le plus abouti, pour beaucoup, et j’en fais parti, son meilleur, mais quoi qu’il en soit, le plus expérimental et celui qui, fort d’un incroyable succès a l’époque, finie par asseoir une bonne fois pour toute la musicienne islandaise au firmament des auteurs compositeurs des années 90. Car Homogenic est un cas a part presque dans la production musicale de l’époque, mais aussi de celle qui suivit : en quelques sorte, il est tout bonnement parfait, de bout en bout. J’ai depuis fort longtemps l’habitude de dire, et je pense ne pas me tromper, que la principale différence entre les albums des années 60/70 et ceux qui suivirent, en particulier 90/2000, c’est que dans les premiers cas, l’on avait droit, sur un disque de, disons, 12 chansons par exemple, 9 bonnes ou excellentes, 2 moyennes et, parfois, une mauvaise. Or, depuis quelques années, c’est un peu le contraire, si l’on met les mauvaises de coté, l’on a plutôt un hit incontestable, voir dans le meilleur des cas, deux, tandis que le reste et bien trop souvent plus que passable. A cela s’ajoutant le fait, celui là objectif est parfaitement vérifiable, qu’autrefois, les groupes, chanteurs etc. sortaient un ou deux disques par an alors que de nos jours, bien souvent, il faut attendre quelques années entre deux opus. Bon, bien évidement, l’on me rétorquera que je fais indéniablement parti de ces fameux indécrottables qui ne cessent de se lamenter en chantant l’air que « c’était mieux avant » et que forcement, bloqué que je suis dans les sixties, je ne suis pas objectif. Or, je pense être ouvert et je sais apprécier des groupes modernes, ainsi que reconnaître la valeur quand je la rencontre, ce qui est bien évidement le cas de cet Homogenic, mais ce n’est pas le seul. Mais bon, comme tout cela est après tout une affaire de gouts personnels, il n’est peut être pas nécessaire de se lancer dans un débat sans fin mais plutôt de revenir a nos moutons. Quoi qu’il en soit, Homogenic est un sacré bon disque, que dis-je, un excellent album, inoubliable et tout bonnement parfait. Avec celui-ci, il est évidant que Björk atteint là des sommets jusque là insoupçonnés, alors qu’elle avait déjà mis la barre plutôt haut auparavant, et qu’elle n’atteindra plus par la suite, même si le niveau, rassurez vous, restera plutôt bon. Mais cela est compréhensible dans la mesure où l’on peut dire sans exagération aucune qu’Homogenic est le chef d’œuvre de Björk, faisant parti de ses fameux albums où il n’y a décidément rien à jeter : que cela soit la pochette, où la diva apparaît transformé en une espèce de froide geisha sous la houlette styliste d’Alexander McQueen, au contenu, où, de Hunter à All is full of love, l’on plonge dans un univers où se croisent accordéons, cordes, clavecins et harpes, le tout matinée de musique électronique du plus bel effet, avec, bien évidement, dominant le tout, la voix inimitable et reconnaissable entre mille de Björk, qui se mêle à merveille à l’ensemble. Avec Homogenic, la diva islandaise souhaitait en quelque sorte créer ce que pourrait être la musique de son pays, et c’est donc a un formidable voyage onirique et merveilleux, qu’elle nous entraine, dans les paysages désolés d’une Islande sublime, où se mêle tradition et modernisme, l’exemple parfait étant, à mes yeux, le formidable Jóga. Je dois avouer que je ne suis pas spécialement fan des chanteuses, tous genres confondus. Pour quelle raison, je n’en sais fichtre rien à vrai dire, probablement une affaire de gouts. Mais malgré tout, j’éprouve une affection particulière pour certaines d’entre elles comme Deborah Harry, Nico et, bien évidement, Björk. Et avec Homogenic, c’est toujours, même au bout de vingt ans, le même plaisir que je ressens lors de chaque écoute, un peu comme si c’était la première fois. Probablement est ce la marque des très grands albums, tout simplement. 
 

Points Positifs
 :
- Le meilleur album de Björk, tout simplement – du moins, c’est mon avis. Il faut dire qu’après des débuts fort prometteurs, la chanteuse islandaise livre ici ce qu’il faut bien appeler un magnifique chef d’œuvre, un opus incontournable qui n’a pas pris une ride vingt ans après sa sortie.
- Une cohérence musicale de bout en bout, une Björk au sommet de son art et qui nous livre un album quasiment sans la moindre faute pour ce qui est de son contenu, les bonnes chansons alternant avec de véritables petites merveilles.
HunterBacheloretteJóga, pour ne citer que quelques exemples parmi les plus évidents de titres majeurs qui composent cet album, mais le reste n’est pas à jeter, loin de là !
- Un véritable mélange de feu et de glace que cet Homogenic, par moments, on se croirait en Islande…
- La pochette, culte bien entendu.
 
Points Négatifs :
- Peut-être un ou deux tires un poil inférieurs vers la fin de l’album, et encore, c’est histoire de pinailler.
- Bien évidement, Björk est une artiste que l’on adore ou pas, du coup, si ce n’est pas votre tasse de thé, il est clair que ce n’est pas Homogenic qui vous fera changer d’avis…
 
Ma note : 9/10

mercredi 29 juin 2016

Post


Post
 
Björk
 
1 - Army of Me (Björk, Graham Massey) 3:54
2 - Hyperballad (Björk) 5:21
3 - The Modern Things (Björk, Graham Massey) 4:10
4 - It's Oh So Quiet (Hans Lang, Bert Reisfeld) 3:38
5 - Enjoy (Björk, Tricky) 3:56
6 - You've Been Flirting Again (Björk) 2:29
7 - Isobel (Björk, Nellee Hooper, Marius DeVries, Sjon) 5:47
8 - Possibly Maybe (Björk, Nellee Hooper, Marius DeVries) 5:08
9 - I Miss You (Björk, Howie B) 4:03
10 - Cover Me (Björk)- 2:06
11 - Headphones (Björk, Tricky) 5:40
 

Post
Musicien : Björk
Parution : 13 juin 1995
Enregistré : 1992 – 1995
Durée : 46:52
Genre : Rock alternatif, New Age, Trip Hop, Jazz
Producteur : Nellee Hooper, Tricky, Graham Massey et Howie B
Label : Polydor
 
Musiciens :
Björk : Chant, claviers, orgue, arrangements
Gary Barnacle : Saxophone
Stuart Brooks : Trompette
Jim Couza : Hammer dulcimer
Einar Orn : Trompette
Graham Massey : Claviers, arrangements
Maurice Murphy : Trompette
Talvin Singh : Percussions
Rob Smissen : Violon
Tricky : Claviers, arrangements
Marius de Vries : Claviers, arrangements
Tony Pleeth : Violoncelle
Eumir Deodato : Arrangements orchestraux
 
Mon avis :
 Suite a la réussite indéniable de son premier opus en solo que fut Debut et avant le méga succès que fut Homogenic qui fit d’elle l’artiste accomplie qu’elle est depuis lors, il y eut un certain Post, second album donc, de notre fée islandaise et qui, mine de rien, mérite encore aujourd’hui toute notre attention tant celui-ci est l’exemple parfait de l’iconoclasme talent de Björk. Car bon, ici, dès cette pochette futuro-asiatique, on se doute que forte de son expérience de Debut, la chanteuse va encore nous épater, et pas qu’un peu d’ailleurs… Il faut dire qu’avec l’apport, a la production, de pointures comme Tricky ou Howie B, Björk a sut fort bien s’entourer, ce qui se ressent sur bon nombre de titres, le coté électro étant poussé a son paroxysme sur des chansons comme, par exemple, Army of Me ou Enjoy qui, d’ailleurs, sonneraient presque de manière industriel. Bref, vous l’avez compris, Björk se complait une nouvelle fois dans le mélange des genres, fort habile au demeurant, et, comme dans Debut, les titres vont se succéder allègrement tandis que l’on passe d’un genre a l’autre sans le moindre problème, la chanteuse étant, de toute façon, fort douée dans tous les registres. Ainsi, dans Post, le Trip Hop côtoie sans problèmes les tranquilles ballades, le jazz n’est jamais bien loin – excellente reprise de It's Oh So Quiet qui, a l’époque, fut un immense succès – quant aux violons, ils ne sont jamais bien loin, même lorsqu’ils accompagnent un beat très marquer comme dans Isobel, sans nul doute le grand moment de cet album et, accessoirement, l’une des plus belles chansons de Björk, tous albums confondus. Du coup, et presque sans surprise, malgré quelques points communs avec Debut et même si Homogenic sera plus grandiose – mais celui-là est hors catégorie – Post est un superbe album, un opus dont on prend grand plaisir à écouter, encore et encore, chaque nouveau voyage dans ce disque nous apportant quelque chose de plus. Et puis, il y a, comme a chaque fois, la voie de Björk, toujours aussi irréelle et reconnaissable entre mille, mais cela, c’est une telle évidence qu’il est presque superflu de le souligner à chaque fois…
 

Points Positifs
 :
- Mieux maitriser que Debut, fort de l’apport de pointures comme Tricky et Howie B a la production, Björk reprend les recettes de son premier album tout en les améliorant, le son étant ici, plus abouti et donnant a l’ensemble un coté cohérant qu’il manquait par moments dans l’opus précédant.
- Un beau petit mélange des genres où l’on retrouve, pèle mêle, du Jazz, du Trip Hop, des ballades voir de la Dance par moments, le tout, magnifié comme d’habitude par l’organe vocal de Björk, un instrument a part entière.
- Pas mal de bonnes chansons, bien entendu, mais, selon moi, le grand moment de cet album, c’est Isobel, l’une des plus belles chansons de l’islandaise.
- L’excellente reprise de It's Oh So Quiet qui fut a l’époque un gros succès.
- La pochette, pour son coté asiatique futuriste et le choix des couleurs.
 
Points Négatifs :
- Peut-être un peu trop de points communs, dans sa conception, avec Debut. Mais il faut dire que, a mes yeux, le souci avec Björk, c’est que le compare toujours ses albums a Homogenic, chef d’œuvre absolu et l’un de mes disques préférés, tous genres confondus, du coup, je trouve probablement a redire là où il ne faudrait pas.
- Peut-être un peu trop de chansons calmes vers la fin de l’album ?
 
Ma note : 8/10

lundi 20 juin 2016

Debut


Debut
 
Björk
 
1 - Human Behaviour (Björk, Nellee Hooper) 4:10
2 - Crying (Björk, Nellee Hooper) 4:52
3 - Venus as a Boy (Björk) 4:42
4 - There's More to Life Than This (Björk, Nellee Hooper) 3:21
5 - Like Someone in Love (Johnny Burke, James Van Heusen) 4:33
6 - Big Time Sensuality (Björk, Nellee Hooper) 3:56
7 - One Day (Björk) 5:21
8 - Aeroplane (Björk) 3:56
9 - Come to Me (Björk) 4:55
10 - Violently Happy (Björk, Nellee Hooper) 4:59
11 - The Anchor Song (Björk) 3:31
12 - Play Dead (Björk) 3:55
 

Debut
Musicien : Björk
Parution : 5 juillet 1993
Enregistré : 1993
Durée : 48:15
Genre : Indie Dance, House, Pop
Producteur : Nellee Hooper, Björk
Label : One Little Indian
 
Musiciens :
Björk : chant, claviers, arrangements
Garry Hughes : claviers, orgue Hammond, programmation
Olivier Lake : cuivres, arrangements
Corky Hale : harpe
Garry Barnacle : cuivres
Mike Mower : cuivres
Marius De Vries : claviers, programmation
Martin Virgo : claviers, programmation
Paul Waller : claviers, programmation
Nellee Hooper : batterie, percussions
Bruce Smith : batterie, percussions
Luis Jardim : basse, percussions, tambours
Talvin Singh : cordes, tabla
Jon Mallison : Guitare
Jhelisa Anderson : choriste
 
Mon avis :
 Comme chacun sait, il y a un début à tout et justement, dans le cas qui nous préoccupe aujourd’hui, ce fut avec Debut qu’en 1993, Björk, chanteuse islandaise qu’il est bien évidement inutile de présenter, débuta sa longue carrière solo – on oubliera l’album de ballades islandaises sorti en 1977 alors que Björk avait alors 12 ans – un album dont, jusqu’à il y a peu, je ne connaissais que quelques titres, ceux sortis en single à l’époque comme Human Behaviour ou Violently Happy et que je me suis enfin décidé a me procurer, plus de deux décennies après sa sortie – après tout, mieux vaut tard que jamais. Car aussi incroyable que la chose puisse paraitre, car oui, je suis un fan de Björk depuis ma jeunesse, de ses albums, je n’ai posséder pendant longtemps que l’excellent Homogenic, sans nul doute son plus grand opus et son chef d’œuvre absolu, un disque qui fait parti, tous genres confondus, de mes préférés depuis qu’il est sorti vers le milieu des années 90. Mais si Homogenic est un grand album, il était grand temps que je m’attaque aux autres opus de la fée islandaise, et justement, rien de tel, pour commencer, que de débuter par ce Debut, premier jalon de la carrière de Björk. Mais alors, que dire de cet album, de ces débuts, donc, de la chanteuse ? Eh ben, justement, tout d’abord, il faut reconnaitre que oui, nous sommes a un niveau inférieur a celui de Homogenic, ce qui n’est guère une surprise tant ce dernier est parfait. Cependant, pour un gallot d’essai, force est de constater que Debut n’en reste pas moins une réussite et, mine de rien, un très bon album : Björk y brille déjà par son éclectisme musicale et son coté touche a tout qui fait qu’on y trouve un fort agréable mélange des genres – l’électro et la danse côtoient sans gène le jazz, la pop voir des ballades a la harpe – et, surtout, il y a cette voix, tellement particulière et souvent espiègle qui fait que, tel un instrument a part entière, celle-ci est l’élément le plus important de toutes ces chansons, Björk s’amusant visiblement a poser son organe et le triturant comme elle le veut, pour notre plus grand plaisir. Alors bien sur, pour un premier album, tout n’est pas encore parfait et on sent que la chanteuse se cherche, n’ose pas encore aller au bout de certaines de ses idées, mais bon, malgré quelques petites imperfections, avec Debut, on comprend rapidement que cette petite chanteuse venue d’Islande fera parler d’elle par la suite, ce qui, bien entendu, fut le cas… mais ceci est bien évidement une autre histoire…
 

Points Positifs
 :
- Le coté éclectique de l’album où Björk, pour un premier opus, mélange allègrement les genres les plus divers – électro, dance, pop, jazz, world music – avec un certain sens du talent, ce qui, au final, donne un ensemble qui n’est peut-être pas d’une grande cohérence vu les différences entre les morceaux mais qui ravira les amateurs des musiques plus métissées.
- Mine de rien, pas mal de très bonnes chansons dès ce premier album : que ce soit Human BehaviourBig Time SensualityPlay Dead ou Violently Happy, pour ne citer que les meilleurs, il y a de quoi faire.
- Ah, cette voix de Björk, reconnaissable entre mille et tellement particulière et qui, bien entendu, fait déjà mouche dans cet album.
- Une fort belle jaquette, sans nul doute la plus belle de toute la discographie de la chanteuse ; tout en étant la plus simple finalement.
 
Points Négatifs :
Debut porte bien son nom puisque oui, c’est le premier album solo de Björk suite a son départ de Sugarcubes : du coup, même si cet opus est plutôt bon, on sent encore quelques petites imperfections par moments, surtout le fait que la chanteuse n’ose pas encore aller au bout de certaines de ses idées, ce qu’elle fera très rapidement par la suite…
- Si l’éclectique de cet album me plait énormément, cela peut être un défaut pour certains qui risquent de ne pas apprécier ce coté un peu fourre tout par moments avec tous ces genres qui se mélangent.
 
Ma note : 8/10