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lundi 28 septembre 2020

Downton Abbey – Saison 6


Downton Abbey – Saison 6
 
Printemps 1925. Le mariage de Carson et Mrs Hugues se prépare, mais la future mariée est inquiète au sujet de la nuit de noces et du devoir conjugal. Elle s'en ouvre à Mrs Patmore et lui demande d'être son interprète auprès de Carson. Finalement, Mr Carson la rassure sur ce point, tout se passera comme il faut entre mari et femme, en dépit de leur âge. Mary prend de plus en plus de responsabilités dans la gestion du domaine après le départ de Tom. Néanmoins, elle est menacée par Rita Bevan une femme de chambre qui veut la faire chanter à propos de son escapade avec Tony Gillingham, Lord Grantham intervient, le problème est réglé. Edith envisage de s'installer à Londres pour gérer le magazine dont elle a hérité. Cousine Violet et Isobel s'opposent à propos de la gestion de l'hôpital. Lord Grantham souhaite une réduction de sa domesticité ce que Carson déplore. Enfin, Anna est innocentée mais les tourments ne semblent pas vouloir quitter le couple Bates qui ne parvient pas à avoir d'enfant.
 

Downton Abbey – Saison 6
Réalisation : Brian Percival
Scénario : Julian Fellowes
Musique : John Lunn
Production : ITV1
Genre : Historique, Drame
Titre en vo : Downton Abbey – Season 6
Pays d’origine : Royaume-Uni
Chaîne d’origine : ITV1
Diffusion d’origine : 20 septembre 2015 – 25 décembre 2015
Langue d'origine : anglais
Nombre d’épisodes : 9 x 60 minutes
 
Casting :
Hugh Bonneville : Robert Crawley
Michelle Dockery : Mary Crawley
Maggie Smith : Violet Crawley
Elizabeth McGovern : Cora Crawley
Penelope Wilton : Isobel Crawley
Laura Carmichael : Edith Crawley
Allen Leech : Tom Branson
Jim Carter : Charles Carson
Brendan Coyle : John Bates
Joanne Froggatt : Anna Bates
Kevin Doyle : Joseph Molesley
Rob James-Collier : Thomas Barrow
Phyllis Logan : Elsie Hughes
Sophie McShera : Daisy Robinson
Lesley Nicol : Mme Patmore
Lily James : Lady Rose Aldridge
Raquel Cassidy : Phyllis Baxter
Michael C. Fox : Andrew Parker
David Robb : Dr Richard Clarkson
Matthew Goode : Henry Talbot
Harry Hadden-Paton : Herbert « Bertie » Pelham, Marquis d'Hexham
Antonia Bernath : Laura Edmunds
Samantha Bond : Lady Rosamund Painswick
Paul Copley : M. Mason
Sue Johnston : Gladys Denker
Douglas Reith : Richard Grey, Lord Merton
Jeremy Swift : Septimus Spratt
Patrick Brennan : M. Dawes
Sebastien Dunn : Charlie Rogers
Victoria Emslie : Audrey
Paul Putner : M. Skinner
Richard Teverson : Dr Ryder
Howard Ward : Sergent Willis
Adrian Lukis : Sir John Darnley
Rose Leslie : Gwen Harding
Michael Cochrane : Révérend Albert Travis
Emma Lowndes : Margie Drewe
Andrew Scarborough : Tim Drewe
 
Mon avis :
 Toutes les bonnes choses ont une fin et c’est donc le tout naturellement du monde qu’avec cette sixième saison, nous disons adieu, ou, du moins, peut-être un au revoir puisqu’un éventuel film serait en préparation, avec une fort sympathique série britannique qui aura emballer les nombreux amateurs d’œuvres en costumes, je veux bien évidement parler de Downtown Abbey. Six saisons, donc, avec des hauts et des bas, des bonnes choses et d’autres un peu moins et qui se voient parfaitement résumées dans ce final qui, il faut le reconnaitre, aura satisfait dans l’ensemble les fans de la première œuvre mais pas entièrement, l’excellence des débuts n’étant plus forcément au rendez vous. Car bon, comment dire… S’il est fort sympathique de retrouver pour un dernier (ou pas) tour de piste tous ces personnages qui nous sont devenus familiers, si l’envie de connaitre leur destin, de savoir si certains allaient enfin connaitre le bonheur tant mérité, bref, si a tout cela, le happy-end final s’avère être une conclusion pour le moins acceptable, il faut avouer que tout ne fut pas parfait lors de cette ultime saison. Déjà, oublions les nombreuses références historiques qui étaient l’une des forces de la série lors de ses débuts, cela fait un certain temps que celles-ci brillent par leur absence. Ensuite, que dire des intrigues secondaires censées nous tenir en haleine au cours de cette sixième saison ? Celle de l’hôpital ? Sincèrement, on s’en moque littéralement ! Les problèmes de grossesse d’Anna ? Pff, depuis la première saison que le couple Bates m’insupporte plus qu’autre chose. Les problèmes de cœur de Mary ? Vu que celle-ci est tellement détestable, j’ai même eu de la compassion pour le pauvre Henri Talbot qui se fait éconduire pendant quasiment toute la saison, ne comprenant pas au passage ce qu’il lui trouvait… Fort heureusement, il y a de bonnes choses tout de même à mettre en avant : Edith, qui, enfin, a droit au bonheur, a sa fille et a un mariage heureux ! Tom Branson, revenu d’outre-Atlantique assez rapidement, ce qui est une excellente nouvelle ! Le couple Carson/Miss Hughes, assez sympathique au demeurant. Thomas qui, après en avoir particulièrement bavé, par moments a raison, finit calife a la place du calife. Cela et quelques moments assez drôles, émouvants et, bien entendu, ce final, un happy-end, donc, mais fort agréable au demeurant, ce qui nous permet de faire nos adieux (a moins que cela ne soit qu’un au revoir) avec tous ces personnages qui nous auront accompagner tout au long de six saisons que l’on n’est pas prêt d’oublier…
 

Points Positifs
 :
- Une conclusion en forme de happy-end mais qui est assez réussie – eh oui, nul besoin d’un drame pour qu’une fin soit bonne. Tous les protagonistes sont plus ou moins heureux, tout s’arrange, ou presque, certains ont enfin droit au bonheur (Edith, Thomas) et, ma foi, cela nous permet de faire nos adieux a tout ce petit monde de la meilleure des manières.
- Une fort bonne chose que la pauvre Edith qui en prit plein la figure tout au long de la série ait enfin droit au bonheur. Il en va de même pour Thomas qui, lui aussi, en avait bien bavé.
- Tom Branson n’aura pas été absent bien longtemps (pour rappel, il partait pour l’Amérique à la fin de la saison précédente) et, sincèrement, ce fut une bonne chose.
- Les deux scènes où Mary s’en prend plein la gueule de Tom et d’Edith sont un pur régal !
- Costumes, décors, photographie, sur ce point, la série aura été parfaite de bout en bout.
 
Points Négatifs :
- Une fois de plus, Mary aura été détestable au possible et je me demande comment certains en sont fans, mais bon… accessoirement, elle fait tout un foin parce que le sieur Talbot n’est pas de sa condition sociale, ensuite, parce que ce dernier est pilote automobile et que Matthew, pour rappel, perdit la vie dans un accident de voiture comme on peut le voir dans la troisième saison (ce qui se comprend) mais, de manière totalement aberrante, il suffit d’une simple discussion avec Violet pour que tout rentre dans l’ordre…
- L’intrigue de l’hôpital, l’une des pires de toutes les saisons.
- L’impression que tout cela fut un poil traité a la va vite par moments ; curieusement, les intrigues les plus intéressantes auront été les plus courtes.
- Le couple Bates, inintéressant jusqu’au bout…
 
Ma note : 7,5/10

vendredi 25 septembre 2020

Downton Abbey – Saison 5


Downton Abbey – Saison 5
 
Janvier 1924. La vie poursuit son cours à Downton Abbey : Mary songe à se remarier mais veut être sûre d'aimer Lord Gillingham qui ne cesse de lui demander sa main et lui propose de devenir amants. Il lui suggère une escapade à deux loin de Downton. Edith se morfond et rend secrètement visite à sa fillette confiée aux Drewe un couple du village. Margie Drewe soupçonne Edith d'être amoureuse de son mari et ignore la vraie raison des fréquentes visites d'Edith à sa fille Marigold. Lady Violet cherche à contrecarrer les possibilités de remariage et d'ascension sociale d'Isobel à qui Lord Merton – nanti d'un charmant château et d'une jolie fortune – fait la cour. Violet provoque donc une rencontre entre Lord Merton et Lady Shakleton, veuve comme lui et très séduisante. Tom est amené à revoir officiellement la jeune institutrice socialiste grâce à l'intervention déplacée de Rose qui la convie lors d'une soirée donnée à Downton. Le courant passe mal entre Miss Bunting et la famille Crawley. Miss Bunting émet des opinions politiques très tranchées lors du dîner, ce qui irrite Lord Grantham.
 

Downton Abbey – Saison 5
Réalisation : Brian Percival
Scénario : Julian Fellowes
Musique : John Lunn
Production : ITV1
Genre : Historique, Drame
Titre en vo : Downton Abbey – Season 5
Pays d’origine : Royaume-Uni
Chaîne d’origine : ITV1
Diffusion d’origine : 21 septembre 2014 – 25 décembre 2014
Langue d'origine : anglais
Nombre d’épisodes : 9 x 60 minutes
 
Casting :
Hugh Bonneville : Lord Robert Crawley
Michelle Dockery : Lady Mary Josephine Crawley
Maggie Smith : Lady Violet Crawley
Elizabeth McGovern : Lady Cora Crawley
Penelope Wilton : Isobel Crawley
Laura Carmichael : Lady Edith Crawley
Allen Leech : Tom Branson
Jim Carter : Charles Carson, majordome
Brendan Coyle : John Bates
Joanne Froggatt : Anna Bates
Kevin Doyle : Joseph Molesley
Rob James-Collier : Thomas Barrow
Phyllis Logan : Elsie Hughes
Sophie McShera : Daisy Mason
Lesley Nicol : Beryl Patmore
Lily James : Lady Rose MacClare
Edward Speleers : James « Jimmy » Kent
David Robb : Dr Richard Clarkson
Raquel Cassidy : Phyllis Baxter
Tom Cullen : Anthony Foyle, Lord Gillingham
Julian Ovenden : Charles Blake
Samantha Bond : Lady Rosamund Painswick
Peter Egan : Lord Hugh « Shrimpie » MacClare
Daisy Lewis : Sarah Bunting
Brendan Patricks : Evelyn Napier
Douglas Reith : Lord Merton
Andrew Scarborough : Tim Drewe
Jeremy Swift : Spratt
Harry Hadden-Paton : Herbert « Bertie » Pelham
Richard E. Grant : Simon Bricker, historien de l'art
Anna Chancellor : Lady Anstruther, ancienne employeuse de Jimmy Kent
Rade Šerbedžija : Prince Kuragin, réfugié russe
 
Mon avis :
 Cinquième saison, déjà, de cette excellente série britannique qu’est Downtown Abbey et, ma foi, la première chose qui me vient a l’esprit, c’est que c’est toujours aussi bon ! Oh bien entendu, il faut aimer le genre, apprécier ce genre d’œuvres en costumes, aux ambiances historiques, mais si c’est le cas, alors, il est évidant qu’il est difficile de ne pas apprécier cette série. Bien évidement, qui dit cinquième saison dit que, le fan, conquis depuis longtemps, est en terrain plus que familier et ne peut que retrouver avec plaisir toute cette horde de personnages qu’il apprécie et connais bien désormais, cependant, si les aléas sentimentaux de Mary peuvent parfaitement laisser froid le spectateur – surtout que cette dernière est tellement antipathique envers sa sœur qu’il est difficile de l’appréciée – et que le misérabilisme du couple Bates ennuyer plus qu’autre chose, il est clair que la présence de protagonistes comme Rose, qui trouvera ici chaussure a son pied, Tom, qui finira par partir pour l’Amérique dans le dernier épisode, Carson, toujours égal a lui-même, Lady Violet, toujours aussi drôle quoi qu’on en dise et, bien entendu, Robert, toujours aussi paumé et qui ne comprend rien a rien, quoi qu’il en pense, fait que l’on ne peut que s’attacher aux nombreuses péripéties qui frappent la famille Crawley au court de cette saison. Cependant, si l’on devait retenir une chose avant tout, ce serait, selon moi, Edith, la sœur toujours mise de coté depuis les débuts de la série : son histoire personnelle, avec sa fille m’aura particulièrement touché… en tous cas, bien plus que les aléas sentimentaux d’une Mary décidément de plus en plus antipathique et inintéressante…  
 

Points Positifs
 :
- Une série toujours aussi bonne et même si cela fait bien longtemps que l’effet de surprise des débuts est passé, force est de constater que, même au bout de cinq saisons, elle est toujours aussi efficace : intrigues qui tiennent davantage du soap qu’autre chose mais qui n’en restent pas moins plaisantes, costumes, décors, une certaine dose d’humour par moments… bref, un pur régal !
- Le personnage d’Edith, enfin mis en avant avec son histoire avec sa fille.
- Lady Violet, toujours aussi drôle, Robert, qui semble tomber des nues a chaque fois, Carson, égal a lui-même, Tom, un de mes personnages préférés, Thomas, bien plus intéressant qu’on pourrait le croire de prime abord…
 
Points Négatifs :
- Le personnage de Mary est de plus en plus détestable, en plus d’être inintéressant au possible : il faut dire que ses atermoiements sentimentaux m’auront laissé de marbre, quand a son mépris pour sa sœur, il en devient malsain !
- Le couple Bates et son misérabilisme pathétique ; sincèrement, ces deux là, je ne peux plus !
- Le décès du chien…
- Tom Branson part pour l’Amérique a la fin de la saison.
 
Ma note : 8/10

mardi 22 septembre 2020

Downton Abbey – Saison 4


Downton Abbey – Saison 4
 
À la suite de la mort inattendue de Matthew, Mary – devenue mère – lutte pour faire face à son deuil. Robert et Violet ne sont pas d'accord sur la façon de l'aider dans cette épreuve. En bas, des cœurs sont sur le point d'être brisés alors que Jimmy s'intéresse finalement à Ivy. Carson reçoit un rappel malvenu de son passé tandis que Mrs Hughes voit une opportunité d'aider Isobel frappée par le deuil. Thomas retourne à ses vieilles habitudes et vise la nounou des enfants.
 

Downton Abbey – Saison 4
Réalisation : Brian Percival
Scénario : Julian Fellowes
Musique : John Lunn
Production : ITV1
Genre : Historique, Drame
Titre en vo : Downton Abbey – Season 4
Pays d’origine : Royaume-Uni
Chaîne d’origine : ITV1
Diffusion d’origine : 22 septembre 2013 – 25 décembre 2013
Langue d'origine : anglais
Nombre d’épisodes : 9 x 60 minutes
 
Casting :
Hugh Bonneville : Robert Crawley
Michelle Dockery : Mary Crawley
Maggie Smith : Violet Crawley
Elizabeth McGovern : Cora Crawley
Laura Carmichael : Edith Crawley
Penelope Wilton : Isobel Crawley
Allen Leech : Tom Branson
Jim Carter : Charles Carson
Brendan Coyle : John Bates
Kevin Doyle : Joseph Molesley
Joanne Froggatt : Anna Bates
Lily James : Rose MacClare
Rob James-Collier : Thomas Barrow
Phyllis Logan : Elsie Hughes
Sophie McShera : Daisy Robinson
Matt Milne : Alfred Nugent
Lesley Nicol : Beryl Patmore
David Robb : Dr Richard Clarkson
Ed Speleers : Jimmy Kent
Cara Theobold : Ivy Stuart
Raquel Cassidy : Phyllis Baxter
Tom Cullen : Anthony Foyle, Lord Gillingham
Julian Ovenden : Charles Blake
Samantha Bond : Lady Rosamund Painswick
MyAnna Buring : Edna Braithwaite
Gary Carr : Jack Ross
Charles Edwards : Michael Gregson
Nigel Harman : M. Green
Daisy Lewis : Sarah Bunting
Brendan Patricks : Evelyn Napier
Douglas Reith : Lord Merton
Andrew Scarborough : Tim Drewe
Jeremy Swift : Spratt
Paul Copley : M. Mason
Bernard Gallagher : Bill Molesley
Shirley MacLaine : Martha Levinson
Poppy Drayton : Madeleine
 
Mon avis :
 Il était clair qu’au vu du final de la troisième saison de cet excellent soap historique qu’est Downtown Abbey, où l’on avait vu l’un des protagonistes les plus importants de la série, c’est-à-dire, Matthew Crawley, perdre la vie dans un stupide accident de voiture, le fan de base pouvait craindre que celui-ci ne manque cruellement a un casting pourtant pléthorique. Et, force est de constater que c’est bel et bien le cas, car bon, comment dire… si dans l’ensemble, on retrouve avec plaisir une série qui nous est désormais familière, des personnages qui font presque partis de la famille et de situations par moments prenantes, il est clair que cette quatrième saison de Downtown Abbey souffre énormément de l’absence définitive du sympathique Matthew. De plus, sans lui, Mary devient un personnage presque inintéressant et je ne veux pas être méchant mais tous ces types qui se battent presque pour la courtiser, tout au long de la saison, m’auront ennuyé plus qu’autre chose… Fort heureusement, il n’y a pas que Mary dans Downtown Abbey et, justement, c’est le reste du casting qui mérite le détour : ainsi, entre sa sœur, Edith, qui n’a décidément jamais de chance, le brave Tom Branson, ancien chauffeur et désormais membre de la famille, le couple Bates qui reprend enfin de l’importance suite au viol d’Anna et, pour finir, Violet toujours égale a elle-même, il est clair que si vous avez apprécier les premières saisons de Downtown Abbey, vous serez toujours ravi de suivre les démêlés de la famille Crawley dans celle-ci ; mais bon, il est clair, d’un autre coté, que pour ce qui est de Mary et de ses histoires de cœur, c’est un autre problème…
 

Points Positifs
 :
- Une série qui a depuis longtemps trouvé son rythme de croisière et où le fan a toujours plaisir à retrouver des personnages et des situations toujours aussi plaisantes. Et puis, il y a cette demeure, franchement magnifique – dans laquelle je m’y verrais bien vivre – et cette manière de faire dont seuls les anglais sont capables.
- Le couple Bates reprend enfin de l’importance, ce qui ne lui était plus arrivé depuis la première saison, et ce, en raison du viol d’Anna.
- Les malheurs d’Edith, Tom Branson toujours le cul entre deux chaises, une Violet toujours aussi exquise, un Carson égal a lui-même, bref, le plaisir de retrouver des personnages qui nous sont familiers et sympathiques.
- L’histoire d’amour entre Rose et le chanteur.
- Pour ce qui est des décors, de la photographie, des costumes, il n’y a rien à redire, Downtown Abbey est toujours aussi magnifique !
 
Points Négatifs :
- Je me suis ennuyer ferme lors de chaque apparition de Mary, ou presque ! Il faut dire que celle-ci est franchement inintéressante tout au long de cette saison, quand a ses trois prétendants, entre le fait que la plupart sont moches et ont le charisme d’une huitre, disons que ces derniers m’ont énervés tout au long des neuf épisodes…
- Matthew aura bien manqué au cours de cette saison.
- Thomas commençait à évoluer un peu dans la saison précédente et là, retour en arrière un peu discutable selon moi.
- Un peu bof les histoires de cœur de Daisy.
 
Ma note : 7,5/10

dimanche 13 septembre 2020

Downton Abbey – Saison 3


Downton Abbey – Saison 3
 
Mars 1920. Toute la famille Crawley se prépare à célébrer le mariage de Lady Mary et Matthew. Cependant, Robert apprend une mauvaise nouvelle : la quasi-totalité de la dot de Cora, placée en bourse, a été perdue. Les jours de Downton sont comptés. La famille Crawley est ruinée. De son côté, Matthew apprend que le père de Lavinia l'a placé en troisième position sur son testament. Le fils aîné étant mort et le second étant porté disparu, il se pourrait que Matthew touche un important héritage. Rongé par le remords, il pense ne pas mériter cet argent du fait de sa rupture avec Lavinia. Mary n'est pas de cet avis et y voit une occasion de sauver Downton. La comtesse douairière passe outre l'opposition de son fils et envoie à Sybil et Branson l'argent qui leur permettra d'assister au mariage. Ses manières, sa tenue et ses positions politiques indépendantistes – il est irlandais – provoquent quelques tensions, tout comme sa visite à ses anciens collègues domestiques.
 

Downton Abbey – Saison 3
Réalisation : Brian Percival
Scénario : Julian Fellowes
Musique : John Lunn
Production : ITV1
Genre : Historique, Drame
Titre en vo : Downton Abbey – Season 3
Pays d’origine : Royaume-Uni
Chaîne d’origine : ITV1
Diffusion d’origine : 16 septembre 2012 – 25 décembre 2012
Langue d'origine : anglais
Nombre d’épisodes : 9 x 60 minutes
 
Casting :
Hugh Bonneville : Robert Crawley
Michelle Dockery : Mary Crawley
Dan Stevens : Matthew Crawley
Jessica Brown Findlay : Sybil Crawley
Maggie Smith : Violet Crawley
Laura Carmichael : Edith Crawley
Elizabeth McGovern : Cora Crawley
Penelope Wilton : Isobel Crawley
Allen Leech : Tom Branson
Jim Carter : Charles Carson
Brendan Coyle : John Bates
Joanne Froggatt : Anna Bates
Siobhan Finneran : Sarah O'Brien
Rob James-Collier : Thomas Barrow
Kevin Doyle : Joseph Molesley
Phyllis Logan : Elsie Hughes
Sophie McShera : Daisy Robinson
Lesley Nicol : Mme Patmore
Amy Nuttall : Ethel Parks
Matt Milne : Alfred Nugent
Edward Speleers : Jimmy Kent
Cara Theobold : Ivy Stuart
Shirley MacLaine : Martha Levinson
Lily James : Rose MacClare
David Robb : Dr Richard Clarkson
Robert Bathurst : Anthony Strallan
Michael Cochrane : Révérend Albert Travis
Jonathan Coy : George Murray
Charles Edwards : Michael Gregson
Christine Lohr : May Bird
Christine Mackie : Daphne Bryant
Samantha Bond : Rosamund Painswick
MyAnna Buring : Edna Braithwaite
Paul Copley : M. Mason
Peter Egan : Hugh MacClare
Bernard Gallagher : Bill Molesley
Kevin McNally : Horace Bryant
Douglas Reith : Lord Merton
 
Mon avis :
 Série tout simplement parfait pour tout amateur d’œuvres cinématographiques ou audiovisuelles en costume, Downtown Abbey renoue, une fois de plus, avec le succès lors de cette troisième saison. La chose était pourtant loin d’être gagnée, et ce, pour deux raisons assez simples : tout d’abord, parce qu’historiquement parlant, les années de l’immédiate après-guerre sont fatalement moins captivantes que celles allant de 1914 à 1918, deuxièmement, et, surtout, tout simplement pour la simple et bonne raison que lorsque dans une série, un couple qui se tourne autour trop longtemps finit pas se mettre ensemble, eh bien, comment dire… bah, la relation perd tout son sel ! D’ailleurs, sur ce point, c’est franchement le cas et si le couple Mary/Matthew nous aura emballé tout au long des deux premières saisons, il est clair que les voir recouler sous la couette en se jurant un amour éternel, cela lasse très rapidement. Fort heureusement, les scénaristes de Downtown Abbey ont sut relancer la machine à succès par le biais de nombreuses sous intrigues plutôt intéressantes – l’attirance entre Thomas Barrow pour un nouveau domestique, la façon dont Tom, l’ancien chauffeur, est vu par sa belle famille – et, surtout, par un drame totalement inattendu, vers le milieu de la saison, qui bouleverse toute cette belle alchimie qui commençait a se mettre en place, je veux bien évidement parler de la mort en couches de Sybil, ce qui laisse ses proches dévastés. Un évènement majeur, donc, pour cette saison mais qui n’est pas le seul puisque, lors des toutes dernières minutes de l’ultime épisode, c’est au tout de Matthew, tout heureux d’être père a son tour qui perd stupidement la vie au cours d’un banal accident de voiture – en fait l’acteur ne voulait pas ressigner pour une suite et il fallait bien s’en sortir par une pirouette scénaristique. De quoi, bien entendu, laisser le spectateur traumatiser par la disparition subite de l’un des protagonistes principaux de la série, tout en se disant que, avec celle-ci, les cartes risquent d’être redistribuées…
 

Points Positifs
 :
- Dans la lignée de ses devancières, cette troisième saison de Downtown Abbey est toujours aussi captivante et c’est donc avec un plaisir certain que le fan des aventures de la famille Crawley retrouvera avec plaisir ses personnages préférés, les lieux qui lui sont désormais familiers et cette ambiance so british du plus bel effet.
- Deux personnages importants perdent la vie dans cette saison et si celle de Matthew laisse sur le carreau un des protagonistes majeurs de la série, c’est tout de même celle de Sybil qui marque le plus les esprits, surtout vu comment elle a été amenée.
- La mise en avant de Tom Bronson, d’abord, pour ses relations conflictuels avec sa belle famille – normal vu qu’il était leur ancien chauffeur – ensuite pour le drame qu’il subit en perdant sa femme, Sybil.
- Thomas évolue énormément au cours de cette troisième saison et, petit à petit, ce personnage franchement antipathique au départ gagne en intérêt.
Downton Abbey se démarque une fois de plus de la concurrence par le biais de ses décors, ses costumes, sa photographie.
 
Points Négatifs :
- Sincèrement, autant j’aimais bien Bates lors de la première saison, autant celui-ci m’indiffère totalement depuis lors et j’en suis venu à me moquer totalement de ses ennuis judiciaires et de ses histoires d’amour avec Anna – accessoirement, personnage tout aussi fade que son mari…
- Quasiment toutes les scènes où apparaissent ensemble Matthew et Mary ; ah, ils étaient mieux quand ils se tournaient autour…
- Certes, l’acteur en avait assez de son rôle, mais tout de même, Matthew est mort du coup !
 
Ma note : 8/10