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lundi 6 avril 2020

God of War 2 – Divine Retribution


God of War 2 – Divine Retribution

Après avoir vaincu Arès, Kratos est devenu le nouveau Dieu de la guerre. Haïssant les dieux, Kratos avait trouvé une nouvelle famille auprès des guerriers Spartiates. Ces derniers, soutenus par leur nouveau dieu, écrasaient de plus en plus de cités. Cependant à chaque nouvelle ville détruite, la colère des dieux grandissait. Le jeu commence lorsque Kratos s'apprête à porter en personne le coup final à la cité de Rhodes. C'est alors que Zeus, craignant de subir le même destin qu'Arès, trompa Kratos et put ainsi lui retirer tous ses pouvoirs grâce à la lame de l'Olympe qu'il avait jadis forgée pour gagner la guerre contre les Titans. Une fois le Colosse animé par Zeus vaincu, celui-ci apparaît devant Kratos, affaibli et grièvement blessé. Le roi des Dieux prend alors la lame de l'Olympe et tue Kratos, qui jure vengeance contre les dieux. Alors que le Spartiate est emmené aux Enfers, Gaïa lui apparaît en songe, et lui offre une opportunité de revanche, que Kratos accepte. Il se réveille, sort des Enfers, et chevauche le Pégase...


God of War 2 – Divine Retribution
Éditeur : Sony Computer Entertainment
Développeur : SCE Santa Monica Studio
Concepteur : David Jaffe
Date de sortie : 13 mars 2007
Pays d’origine : Etats-Unis
Genre : Beat Them All
Mode de jeu : Un joueur
Média : CD, Blu-Ray
Contrôle : Manette
Plate-forme : PS2

Mon avis : Si je connaissais depuis longtemps la saga God of War, il me fallut, néanmoins, un certain temps avant de franchir le pas, le postulat de base de la série et son héros, Kratos, ne m’ayant pas forcément attiré de prime abord… Il faut dire que celui-ci, justement, est un indécrottable bourrin sans cervelle aux antipodes, a mille lieux, à des années-lumière même que ce que bien d’autres titres ont pu nous proposer dans la grande histoire des jeux vidéo – qui, mine de rien, commence à dater un peu avec ses trois décennies passées – de nos jours, l’un des loisirs principaux des habitants du monde occidental. Mais si, indéniablement, Kratos est un bourrin, je peux comprendre qu’il plaise à un certain public et même, quelque part, après qu’il m’ait accompagné tout au long d’une semaine, j’ai finis par lui trouver un certain charme (non, je ne suis pas tomber amoureux) et son coté cynique, tragique, frappé par le destin, mais aussi, sa lutte contre les dieux, décidément toujours aussi injustes dans leurs comportements envers les mortels m’a bien plu. Oh, pas au point que je le préfère a ce bon vieux Solid Snake ou au sublime Raziel, mais tout de même, ce brave Kratos, tout bourrin qu’il est, aura fini par être une bonne surprise – d’un autre côté, vu que je n’en attendais pas grand-chose, c’est peut-être normal ? Alors bien sur, ce qui compte avant tout, ce n’est pas de savoir si Kratos est charismatique ou pas mais le jeu en lui-même, ce qu’il vaut, ce qu’on y fait, la qualité des décors, de l’intrigue, la classe (ou pas) de nos ennemis, les combats et tout un tas d’autres choses qui font qu’un jeu vidéo peut être bon, génial, exceptionnel, mais aussi, passable, mauvais, nullissime ! Et là, franchement, je dois le dire, ce fut une belle petite claque que j’ai reçu comme cela faisait bien longtemps que ça ne m’arrivait pas ! Certes, les joueurs confirmés qui sont passés à la PS4  rigoleront probablement devant mon enthousiasme pour un jeu aussi ancien et qui, à leurs yeux, apparaitrait comme moche. Pourtant, en jeux vidéo, il faut toujours relativiser les graphismes et surtout, les remettre dans leurs contextes de machine et de date de sortie : ce qui fait que, un jeu sortit sur Nintendo dans les années 80 puisse être encore une réussite graphiquement et qu’un autre, de nos jours, ne le soit pas – certains auront du mal à comprendre cela mais c’est bel et bien un fait. Et donc, ce second God of War est avant toute chose une pure merveille : tant par les décors, variés, gigantesques et somptueux, que par le moteur graphique qui fait qu’il n’y ait pas de temps de chargements (c’est rare et il faut le saluer comme il se mérite), le joueur prend un plaisir certain à déambuler dans un univers, certes violent au possible et d’une dureté extrême, mais étonnamment beau, d’une beauté, même, parfois, a en couper le souffle. Mais il faut dire que, adorant les décors gigantesques, qui nous donnent l’impression d’être une minuscule fourmi, je ne peux qu’être gâté par ceux de God of War 2. Mais ce n’est pas tout : comment ne pas apprécier toutes ces figures mythologiques que l’on ne cesse de rencontrer tout au long du jeu : entre de simples monstres mais aussi des héros – Persée, Thésée, Icare –, les Titans – Gaia, Atlas, Cronos – et des Dieux – Athéna, Zeus – quel plaisir de déambuler, et surtout, d’affronter des figures aussi exceptionnelles. Et là, nous arrivons à un point crucial de ce jeu, qui rappelons-le, est avant tout un Beat Them All, les fameux combats ! D’une violence inouïe et extrême avec ses membres arrachés, ses décapitations en tout genre et ce sang qui ne cesse de gicler, ceux-ci sont souvent dantesques au possible et vous feront passer de bons, que dis-je, de très grands moments : avez-vous déjà imaginé affronter le Colosse de Rhodes, Thésée ou même Zeus en personne ? Ici, ça sera le cas et franchement, quel plaisir de le faire, quel plaisir de se mesurer à des adversaires gigantesques de par leur taille démesuré, ou possédant des pouvoirs divins et même si parfois, vous penserez que cela est impossible, dite vous que personne, pas même Zeus, n’échappera a courroux de Kratos ! Bien évidemment, l’on pourrait pester contre une durée de vie bien trop courte finalement, comme si le genre voulait qu’il en soit toujours ainsi, signaler quelques petits pompages a d’autres titres comme Devil May Cry ou Soul Reaver voire même, reconnaitre que si certains passages du jeu sont d’une difficulté rare, d’autres sont beaucoup trop simples et que certaines combinaisons de touches, à certains moments, donnent des sueurs froides – Ouh le combat final contre Zeus !!! Mais dans l’ensemble, comment ne pas reconnaitre ce qu’est God of War 2 ? C’est-à-dire, un très grand jeu. Entre un univers original car, finalement, rarement abordé sur console et surtout, pas aussi bien, des graphismes (décors, personnages) somptueux, une bande son guerrière qui colle très bien à l’action et de nombreux moments inoubliables, force est de constater que nous avons là un jeu superbe, captivant au possible et dont il est très difficile de décrocher. D’ailleurs, il m’est arrivé quelque chose d’incroyable avec ce second God of War, quelque chose qui ne m’arrivait plus depuis des années, quelque chose que, franchement, je croyais ne plus être possible, c’est-à-dire : commencer un jeu, ne pas le lâcher et le finir en quelques jours… comme au bon vieux temps. Bien évidemment, les circonstances – j’étais en vacances – ont bien aidé pour cela, mais bon, en d’autres cas, j’abandonnais vite l’affaire. Mais ici, avec God of War 2, ce ne fut pas le cas, bien au contraire, et franchement, quel jeu, mais quel jeu !


Points Positifs :
- Un des meilleurs Beat Them All de tous les temps et, indéniablement, probablement le sommet de la saga God of War. Il faut dire que si le troisième volet, sur PS3, sera nettement plus aboutit graphiquement parlant et ira encore plus loin dans le coté grandiloquent, c’est par Divine Retribution que, véritablement, Kratos a prit une ampleur notable et a imposer la franchise comme étant une des plus incontournables de l’histoire vidéoludique moderne. Il y eut avant et un après God of War 2 !
- Si le premier volet avait placé la barre assez haut, ici, nous flirtons allègrement avec l’excellence, tout bonnement. Ainsi, si vous êtes fans du genre et que le coté bourrin de Kratos ne vous gène pas, force est de constater que vous allez passer un bon, que dis-je, un très moment devant votre console !
- Enfin, les boss sont nettement plus nombreux et, accessoirement, plus impressionnants, ce qui nous donnera des combats dantesques. Cependant, les autres adversaires, eux, méritent également le détour car non seulement ils sont plus variés que dans le premier épisode mais, en plus, ils représentent, cette fois ci, un véritable chalenge par moments.
- Graphiquement, God of War 2 – Divine Retribution est une pure merveille ! Bien entendu, nous sommes en fin de vie sur PS2 et les concepteurs maitrisent à merveille la console, cependant, il faut reconnaitre qu’ils sont accomplis, ici, un travail magnifique et, ne serais-ce que pour le gigantisme des décors, le jeu en vaut la chandelle.
- Une jouabilité toujours au top, comme dans le premier volet.
- Les amateurs de la mythologie grecque seront, bien entendu, aux anges…

Points Négatifs :
- Bon, il faut être fan du genre, bien entendu, pour apprécier au mieux ce God of War 2 – Divine Retribution. De plus, Kratos reste un personnage bourrin, violent et sans grande morale, ce qui risque de déplaire à certains…
- Nous ne sommes plus dans la durée de vie ridicule du premier volet, cependant, comme c’est souvent le cas dans ce genre de jeux, il faut reconnaitre que celle-ci n’est pas très longue.

Ma note : 9/10

God of War


God of War

Poséidon, Dieu des Océans, a chargé Kratos de tuer l'Hydre de Lerne qui ravage les navires de la flotte grecque sur la mer Égée. Après s'être acquitté de cette tâche, Kratos appelle la déesse Athéna. Depuis dix ans qu'il est au service des dieux, il souhaite enfin obtenir la récompense qu'il désire plus que tout : l'oubli des horreurs qu'il a commises par le passé. Avant d'accéder à sa requête, Athéna lui demande d'intervenir en sa faveur. En effet son frère Arès a attaqué sa ville, Athènes, avec son armée de monstres tout droit sortis des Enfers. Mais comme Zeus a interdit tout conflit entre Dieux, elle ne peut intervenir directement. Athéna est formelle : seul un mortel entraîné par un Dieu aura une chance de vaincre un autre Dieu. Elle s'engage par ailleurs à ce que les Dieux de l'Olympe pardonnent à Kratos ses actes passés en cas de succès. Arrivé à Athènes, Kratos se fraye un chemin entre cyclopes, morts-vivants et gorgones, et rencontre en chemin un étrange fossoyeur qui creuse une tombe au beau milieu du champ de bataille. Il arrive finalement au Temple de la ville où l'Oracle lui révèle que le seul moyen de vaincre un Dieu pour un mortel est d'entrer en possession de la boîte de Pandore, enfermée au fond du Temple de Pandore, que le Titan Cronos est condamné à porter sur son dos dans les tourbillons de sable du Désert des âmes perdues.


God of War
Éditeur : Sony Computer Entertainment
Développeur : SCE Santa Monica Studio
Concepteur : David Jaffe
Date de sortie : 22 mars 2005
Pays d’origine : Etats-Unis
Genre : Beat Them All
Mode de jeu : Un joueur
Média : CD, Blu-Ray
Contrôle : Manette
Plate-forme : PS2

Mon avis : Si God of War 2 – Divine Retribution fut, de fait, ma première expérience avec Kratos, sur ce blog, je vais faire les choses dans l’ordre et donc, vous proposer la critique du tout premier God of War, premier volet d’une saga devenu, depuis, culte. La problématique, dans un cas comme celui-là, c’est que, lorsque l’on joue au deuxième volet d’une saga avant de passer au premier, on sait déjà plus ou moins tout ce qui se passe dans le titre précédant, et bien évidement, les grandes lignes scénaristiques de God of War, premier du nom, m’étaient connues. Ainsi, la vengeance de Kratos, sa lutte contre Arès, le dieu de la guerre et certaines scènes (entraperçues dans le deuxième volet) m’étaient connues, ce qui, accessoirement, et bien heureusement, ne gâcha nullement le plaisir du jeu, et ce, même si l’effet de surprise, bien évidemment, n’était plus vraiment là. De même, puisque je parle d’effet de surprise, forcément, tant l’univers que les protagonistes ne m’étaient plus inconnus, et, bien entendu, pour ce qui est du style de jeu en lui-même, les combats et les adversaires proposés, j’étais tout de suite en terrain connu, ce qui eut, bien sur l’avantage non négligeable que je n’eut aucune difficulté a me lancer dans l’aventure. Car forcément, la seule différence, ou presque, entre les deux titres, c’était de pouvoir prolonger le plaisir de jouer Kratos dans deux aventures différentes, et sur ce point, force est de constater que je n’ai pas été déçu : certes, le synopsis est loin d’être original – bah, ce n’est qu’une histoire de vengeance après tout – et comme l’effet de surprise n’était plus présent, j’aurais pu éprouver une légère déception avec ce premier God of War, or, il n’en fut rien et, sincèrement, dès le premier épisode, les petits gars de chez Sony basés à Santa Monica, aux Etats Unis, avaient tout compris… ou presque. Car si, indéniablement, God of War, premier du nom, est un superbe Beat Them All, probablement le meilleur du genre (pour ce qui est de la série, j’entends bien), quelque part, j’aurais préféré faire celui-ci avant de me lancer dans sa suite. Car en effet, aussi bon soit-il, malgré des passages époustouflants, des combats inoubliables et des idées déjà fortement en place, il faut bien avouer que God of War 2 lui est largement supérieur : déjà, pour ce qui est des graphismes, il n’y a pas photo et d’ailleurs, la différence de qualité (et pourtant, ceux du premier volet sont plus que corrects mais avouons qu’ils ne tiennent pas la comparaison face à ceux de sa suite) est telle qu’il m’aura fallu un moment pour m’y faire. Ensuite, God of War 2, c’est le premier mais en largement mieux : plus long, plus complet, plus beau, plus spectaculaire, plus de boss (seulement trois, dont Arès, une misère), plus de décors variés, plus d’énigmes, d’adversaires, d’événements marquants, ce qui démontre simplement que si les développeurs du premier God of War avaient fait un grand coup avec celui-ci, ils l’ont tout simplement sublimer avec le deuxième titre. Cependant, cette constatation n’enlève rien au fait que le premier God of War n’en reste pas moins un excellent, un très grand jeu qui ne possède quasiment aucune faiblesse, en dehors du fait qu’il soit un peu trop court à mon gout, ainsi que pour ce qui est des boss, en trop petit nombre. Mais pour le reste, il n’y a vraiment rien à redire, c’est du tout bon que je ne peux que vous conseiller vivement si jamais vous n’avez jamais jouer a aucune des aventures de Kratos. Après, que sa suite soit supérieure, c’est un fait incontestable, mais cela n’enlève rien aux qualités propres de son prédécesseur.


Points Positifs :
- Le premier volet de ce qui est devenu, depuis, une des sagas les plus connues du petit monde des jeux vidéos et, bien entendu, rien que pour cela, il faut souligner l’importance de ce soft. Qui plus est, s’il faut reconnaitre que la suite sera nettement plus aboutie, God of War marque déjà les esprits pour sa qualité d’ensemble, assez élevée et apparait, immédiatement, comme étant un excellent Beat Them All.
- Kratos, bien sur ! Assez curieusement, on s’attache facilement à cet individu, complètement bourrin, antipathique et violent. Mais le fait que celui-ci soit un antihéros absolu fait, peut-être, que cela fonctionne aussi bien avec lui. Qui plus est, cela nous change nettement de tout un tas d’autres héros un peu trop proprets pour être honnêtes…
- Bien entendu, on note l’inspiration chez des titres comme Devil May Cry ou Onimusha, cependant, God of War n’est pas qu’un simple copié/collé de ses prédécesseurs et s’impose, immédiatement, de par ses qualités, nous prouvant qu’on peut toujours faire du neuf avec du vieux.
- Jouer dans la Grèce antique, avec ses Dieux et ses créatures mythiques ! Franchement, c’était presque une première à l’époque !
- Une prise en main immédiate et une jouabilité au top pour des combats nerveux et dantesques. Sur ce point, il n’y a rien à redire.
- Graphiquement, en se remettant dans le contexte de l’époque, ce jeu est plutôt superbe.

Points Négatifs :
- Malheureusement, God of War, premier du nom, est court, terriblement court. Certes, ce n’est pas une nouveauté dans ce genre de jeux, cependant, ici, on peut boucler l’aventure en moins de dix heures, ce qui est nettement exagérer…
- Trois misérables boss seulement !? Non, là, on se moque de nous !
- Les plus cyniques remarqueront que God of War n’a, finalement, rien inventer et se contente de reprendre tout un tas d’éléments qui avaient fait le succès d’autres softs avant lui…

Ma note : 8/10

dimanche 5 avril 2020

Tomb Raider – Legend


Tomb Raider – Legend

Lorsque Lara Croft avait neuf ans, l’avion qui les transportait, sa mère et elle, s’est écrasé dans l’Himalaya. Seules survivantes, elles trouvent refuge dans un ancien monastère bouddhiste abandonné. Lara y découvre un socle de pierre gravé avec une épée, et active accidentellement le dispositif. Un portail s’ouvre, et emporte sa mère après que celle-ci a retiré l’épée. Quelques années plus tard, Lara est en Bolivie pour explorer une civilisation pré-inca, Tiwanaku. Elle est à la recherche d’un socle de pierre gravé, sur les renseignements de son amie Anaya. Sur place, elle rencontre des mercenaires, qui ont pour ordre de l’attaquer à vue. Elle finit par arriver à un temple ancien. À l’autre bout, elle découvre le socle de pierre, et rencontre James Rutland. Celui-ci exhibe un fragment d’épée, et mentionne Paraíso et Amanda, que Lara croyait morte. Après un autre combat, au cours duquel Rutland prend la fuite, Lara examine le socle, en tout point semblable à celui vu au Népal.


Tomb Raider – Legend
Éditeur : Eidos Interactive
Développeur : Crystal Dynamics, Buzz Monkey Software
Concepteur : Toby Gard
Date de sortie : 7 avril 2006
Pays d’origine : Grande-Bretagne
Genre : Action-aventure
Mode de jeu : Un joueur
Média : CD, Blu-Ray
Contrôle : Manette
Plate-forme : PS2

Mon avis : Une journée décidément marqué du sceau de Lara Croft, sans nul doute l’une des figures les plus marquantes du petit monde vidéoludique de ces quinze dernières années, puisque, après vous avoir parlé de l’excellent Tomb Raider – Anniversary, c’est autour d’un autre volet de la saga, non moins important, d’être mis a l’honneur : Tomb Raider Legend. Il faut dire que, historiquement parlant, ce septième volet de la série a son importance : sorti après le désastreux L’Ange des Ténèbres qui avait failli envoyer Lara dans les oubliettes de l’histoire, Legend est sans nul doute l’épisode du renouveau et sans ce dernier, il me parait évidant que la saga aurait eu bien du mal a exister encore de nos jours … Mais Tomb Raider – Legend, c’est aussi le premier volet développé par Crystal Dynamics, les concepteurs du légendaire Soul Reaver et il marque un tournant salutaire a une franchise qui, depuis Tomb Raider 3, n’en cessait plus de mourir a petit feu… Bref, un épisode marquant pour les fans mais qui, il faut le reconnaitre, n’en possède pas moins quelques défauts. Bien évidement, dans Legend, on renoue avec plaisir avec tout ce qui avait fait la saveur de la saga au cours des premiers volets : exploration de temples anciens, pièges mortels, énigmes diaboliques, etc. De même, on a droit une fois de plus à un objet légendaire à retrouver, dans le cas présent, Excalibur, Lara devant voyager un peu partout autour du monde pour en retrouver les fragments de la légendaire épée. Au rayon des nouveautés plaisantes, des graphismes affinés et des niveaux plutôt réussis (nous sommes en 2006), au rayon des nouveautés dont on se serait bien passer mais qui ne sont pas très graves, le fait que Lara soit en liaison constante avec ses potes (dont un doublé par un certain Omar Sy), au rayon des franches déceptions par contre… des phases de gun-fight trop présentes, des animaux quasi-absents et, surtout, un jeu que l’on finit, grosso modo, en huit ou neuf heures ce qui est court, terriblement court… Dommage car Legend est tout sauf un mauvais soft, il relance la saga, l’intrigue est sympa et il y a quelques bons passages, par contre, avec des niveaux aussi courts et une durée de vie famélique, nous sommes aux antipodes de ce que la saga nous offrait du temps de sa splendeur… Enfin bon, faisons contre mauvaise fortune bon cœur ; après tout, après LegendCrystal Dynamics nous pondra l’exceptionnel Tomb Raider – Anniversary qui, lui, sera parfait en tout points !


Points Positifs :
- Historiquement, c’est l’un des volets les plus importants de la saga : en effet, en choisissant Crystal Dynamics pour relancer la série, Eidos a vu juste et ce Tomb Raider – Legend est le premier d’un renouveau incontestable d’une franchise qui était en train de mourir lamentablement à petit feu.
- On retrouve un jeu digne des premiers volets : intrigue, protagonistes, niveaux et pièges diaboliques, énigmes, le vieux fan sera aux anges de retrouver son héroïne préférée comme au bon vieux temps.
- Nous sommes en 2006, sur PS2, et, ma foi, si Legend n’est pas le plus beau jeu de la console de Sony, il s’en sort plus ou moins bien et certains niveaux sont plutôt beaux… du moins, pour un Tomb Raider.
- Le niveau de Tokyo me faisait un peu peur et, au final, il est plutôt pas mal : entre la tenue de Lara et son passage sur les toits de la mégalopole, on ne s’ennui pas une seconde !
- Quelques passages originaux comme les poursuites en moto ou celui, un peu fun, où l’on conduit un chariot élévateur.
- C’est Omar Sy qui double l’un des sous-fifres de Lara !

Points Négatifs :
- Je pense que je n’ai jamais vu un Tomb Raider aussi court ! Niveaux que l’on traverse au pas de course, rareté des adversaires par moments, peu de pièges… et on arrive à la fin en un clin d’œil, ou presque.
- Mais où sont les animaux (il n’y en a que quelques uns) et les dinosaures que l’on devait se coltiner dans les épisodes précédents ? Une grosse déception.
- A la place, des humains et des phases de gun-fight à n’en plus finir par moments… Mouais, là, on s’éloigne de l’esprit Tomb Raider.
- L’intelligence artificielle de nos adversaires tourne souvent au ridicule et mourir face à une quinzaine de types armés relève de l’exploit.
- Mais pourquoi n’avoir droit qu’à trois trousses de soin maximum ?
- Ils sont un peu hard les boss en comparaison des autres adversaires qui eux sont trop faciles a vaincre.
- Je ne suis pas un grand fan des interventions intempestives des potes à Lara tout au long du jeu.
- Un peu bof la fin…
- Un Tomb Raider ne serait pas un Tomb Raider sans les traditionnels bugs du jeu.

Ma note : 7,5/10

Tomb Raider – Anniversary


Tomb Raider – Anniversary

Nouveau-Mexique, 1945. Une explosion atomique expérimentale a lieu, rasant un village et libérant une mystérieuse créature que l'on voit furtivement s'envoler. Calcutta, 1996. Lara Croft, après avoir mené une précédente expédition à bien, retrouve une vieille connaissance, Larson, qui lui fait prendre contact avec Jacqueline Natla. Cette dernière est la présidente de Natla Technologies, une entreprise majeure dans l'électronique. Natla voudrait convaincre Lara de partir à la recherche d'un artefact particulier pour elle : le Scion de l'Atlantide, une relique que mademoiselle Croft avait tenté de trouver avec son père. Une recherche qui n'avait pas abouti, du fait que le duo père-fille n'avait pas pu localiser la célèbre cité de Vilcabamba. Natla indique alors l'emplacement de cette cité, se situant au Pérou, à la suite de quoi Lara n'hésite pas à se lancer dans l'aventure.


Tomb Raider – Anniversary
Éditeur : Eidos Interactive
Développeur : Crystal Dynamics, Buzz Monkey Software
Concepteur : Toby Gard
Date de sortie : 1er juin 2007
Pays d’origine : Grande-Bretagne
Genre : Action-aventure
Mode de jeu : Un joueur
Média : CD
Contrôle : Manette
Plate-forme : PS2

Mon avis : Incontestablement, et n’en déplaise a ses détracteurs, le tout premier volet de Tomb Raider, sortit en cette désormais lointaine année 1996 fut, a l’époque, un véritable séisme vidéoludique : il faut dire que pour la toute première fois, une héroïne était mise en avant, et pas n’importe laquelle puisque Lara, véritable Indiana Jones des temps modernes, atteint très rapidement le cœur des joueurs, émerveillés par ce sublime jeu d’aventure. La suite de l’histoire alterna entre le très bon et le franchement moyen, avant d’arriver, il y a quelques années, au pathétique L’Ange des Ténèbres qui, ma foi, semblait alors être le coup de grâce d’une saga que l’on voyait parfaitement disparaitre. C’était sans compter sans les petits gars de Crystal Dynamics qui, presque coup sur coup, nous proposèrent deux nouveaux volets des aventures de Lara Croft : Legend, dont je vous parlerais dans les semaines à venir, et, donc, cet Anniversary, remake du tout premier soft de la saga ! Un remake d’un volet tout bonnement mythique et sur lequel il aurait été facile de se casser les dents, ce qui, pour le plus grand plaisir des fans, ne fut pas le cas : en effet, avec cet Anniversary, les petits gars de Crystal Dynamics ne se sont pas moqués du monde, bien au contraire : niveaux entièrement refaits et plus vastes, graphismes franchement excellents pour l’époque, nouvelles énigmes et autres pièges, mouvements issus de Legend et tout un tas d’autres nouveautés qui apportaient un plus indéniable a un soft qui était tout sauf un banal portage sur PS2. Car en effet, pour avoir joué aux deux jeux, si la trame générale, le scénario, l’avancée de l’intrigue est quasiment la même dans Anniversary que dans le premier Tomb Raider, les différences, par moments, sont tellement notables qu’on a presque l’impression de jouer a un nouveau soft. Bref, une réussite, incontestable et incontesté et, selon moi, la preuve évidente que, parfois, on peut parfaitement faire du neuf avec du vieux, ce, quand le talent et l’envie sont là. Quoi qu’il en soit, Anniversary est un soft que les fans purs et durs de la belle Lara se doivent de posséder, bref, un incontournable !


Points Positifs :
- On peut toujours se méfier quand on entend le mot remake pour un jeu car bien souvent, celui-ci est synonyme de déception, or, dans le cas présent, il n’en est rien et c’est tant mieux pour les nombreux fans de Tomb Raider – et croyez moi, en presque deux décennies, ils sont nombreux. Plus qu’un simple portage sur une console aux capacités supérieures, cet épisode anniversaire est l’exemple parfait que quand on veut faire du bon travail avec du matériel ancien, la chose est possible.
- Malgré ses défauts et son grand âge, le premier Tomb Raider fut un grand jeu ; Anniversary, pourtant, réussi l’exploit de, non seulement, le sublimer, mais, qui plus est, le dépasser ! Niveaux plus vastes, parfois immenses, nouveaux pièges, nouveaux adversaires, une trame légèrement modifiée, bref, pour une fois, il n’y a pas tromperie sur la marchandise !
- Graphiquement, je reconnais que ce n’est pas le plus beau jeu de la PS2, cependant, les graphismes n’en restent pas moins excellents pour la saga et certains niveaux valent même le détour.
- L’effet nostalgie pour les fans de la première heure qui auront le plaisir de retourner a leurs premiers amours avec ce soft… et puis, que de souvenirs…

Points Négatifs :
- Le principal défaut de ce Tomb Raider Anniversary est, selon moi, son manque de cinématiques ; mouais, il n’y a pas grand-chose à se mettre sous la dent…
- Si vous êtes un vieux de la vieille, un inconditionnel de Lara, ce soft est fait pour vous, par contre, si ce n’est pas le cas, je ne pense pas que cet épisode anniversaire vous convienne, surtout si vous êtes jeunes et n’êtes pas habituer a une difficulté plus hard que celle des jeux actuels.
- On ne change pas une équipe qui gagne : les traditionnels bugs de la saga sont une fois de plus au rendez vous ; certes, moins que dans d’autres épisodes.

Ma note : 8,5/10

samedi 4 avril 2020

Shadow of the Colossus


Shadow of the Colossus

Wander, jeune homme mystérieux, traverse un grand viaduc pour entrer sur des terres interdites. Monté sur son cheval Agro, il arrive dans un énorme sanctuaire au centre de la région, puis dépose sur l'autel le corps enveloppé d'un linceul qu'il transportait. Il retire le drap et on découvre le visage d'une jeune femme nommée Mono. C'est alors que plusieurs créatures qui semblent formées d'un éther très sombre apparaissent pour attaquer les personnages. D'apparence humanoïde, les créatures-ombres sont rapidement vaincues par Wander, armé de son épée. Sortant des hauteurs du temple, la voix désincarnée d'une entité connue sous le nom de Dormin se fait entendre, surprise que le voyageur possède une telle arme. Wander demande à Dormin de sauver son amie, en réintégrant l'âme dans son corps. Il lui explique que cela ne lui sera possible que lorsque les seize idoles de pierres du temple auront été détruites. Il lui faut pour chaque statue vaincre au préalable le géant qui lui est associé et qui repose quelque part dans la région. Pour cela, Dormin lui explique qu'il doit utiliser son épée, une arme unique aux pouvoirs magiques. Malgré les avertissements de Dormin qui lui explique qu'il aura un grand prix à payer pour réanimer Mono, Wander part à la recherche des Colosses.


Shadow of the Colossus
Éditeur : Sony Computer Entertainment
Développeur : SCE Japan Studio (Team Ico)
Concepteur : Fumito Ueda, Kenji Kaido, Shunpei Suzuki, Hitoshi Niwa,
Date de sortie : 18 octobre 2005
Pays d’origine : Japon
Genre : Action-aventure
Mode de jeu : Solo
Média : DVD
Contrôle : Manette
Plate-forme : PS2

Mon avis : Sortit en la déjà lointaine année 2005, Shadow of the Colossus fut, indéniablement, un des grands jeux de la PS2. Il faut dire que le soft du sieur Fumito Ueda, auteur auparavant du fameux Ico, avait marqué son époque, ce, de par son onirisme, ses graphismes, son histoire – particulièrement la fin, plutôt triste – et, bien entendu, ses fameux Colosses, tous plus magnifiques les uns que les autres et qui inspirèrent, par la suite, bien d’autres jeux qui nous proposèrent des adversaires tous plus gigantesques les uns que les autres. Bref, d’entrée de jeu, vous avez compris que Shadow of the Colossus aura marqué son époque, que l’on peut le qualifier, sans aucun problème, d’incontournable et que, historiquement parlant, il y eut un avant et un après, pourtant, malgré toutes les louanges méritées, le soft de SCE n’aura pas conquis le grand public. Vous pouvez trouver ce fait singulier ? En fait, pas tant que cela car Shadow of the Colossus fait également partit de ce genre d’œuvres tellement spéciales, tellement destinées a un certain public que, forcément, ces mêmes spécificités font que la plupart des gens n’accrocheront pas. Cela peut paraitre dommage, certes, mais bon, on ne refera pas le monde et il est clair que, pour celles et ceux qui auront adhéré au concept de ce soft, a son univers, a son intrigue et a son originalité, Shadow of the Colossus fut un pur bonheur, un régal absolu qui en aura marquer plus d’un. Bref, le genre de jeux totalement inclassables et qui nous prouvent, a la perfection, que lorsque l’on sort de sa zone de confort, lorsque l’on ose proposer un contenu original, le résultat peut s’avérer somptueux, tout simplement…


Points Positifs :
- Indéniablement un des plus grands jeux de la PS2 et, en tous cas, sans nul doute le plus original ! D’un onirisme rare, jamais vu à l’époque – en dehors de Ico des mêmes concepteurs – nous offrant des affrontements incroyables face a des adversaires qui méritent bien leurs noms de colosses, possédant une histoire incroyable, tous ceux qui s’y sont essayer et qui ont accroché auront été littéralement conquis ! Tout bonnement inoubliable !
- Une histoire obscure tout au long du jeu et qui ne se dévoile qu’a la fin, fin qui, au passage, est plutôt triste mais fort réussie, un protagoniste principal attachant, son cheval, un univers magnifique, une ambiance inoubliable et, bien évidement, les fameux colosses !
- Les colosses, bien sur ! Tout bonnement magistraux, ils nous offrent des affrontements dantesques, variés, et qui marquent les esprits. Un pur régal !
- Graphiquement, Shadow of the Colossus en met plein la vue ! Il faut dire qu’entre des décors grandioses et qui nous éblouissent de par leur taille, l’apparence des colosses et cette ambiance post-apocalyptique du plus bel effet, difficile de ne pas adhérer a cet univers oh combien particulier mais terriblement attirant.

Points Négatifs :
- Malheureusement, pour ce qui est de la jouabilité, il faut reconnaitre que tout n’est pas parfait, loin de là. Qui plus est, lors des combats, certains mouvements de caméras hasardeux vous feront hurler de rage !
- Même si, dans l’ensemble, les décors sont magnifiques et marquent les esprits de par leur gigantisme, il faut reconnaitre que certains sont un peu vides. Certes, c’est une minorité mais on ne peut pas l’occulter.
- Bon, il faut reconnaitre qu’il faut adhérer au concept de Shadow of the Colossus et que ce soft, aussi bon soit-il, aussi magnifique soit-il, ne plaira probablement pas au grand public qui dédaignera totalement ce jeu a l’univers si particulier…

Ma note : 8,5/10

Ico


Ico
 
Ico est un jeune garçon né avec des cornes. Convaincus d'une malédiction, les villageois font alors appel aux services de chevaliers sans visages. Après un long voyage, ces chevaliers l'enferment vivant parmi un grand nombre de sarcophages d'une forteresse abandonnée. Il échappe à son funeste destin et fait la rencontre de Yorda, une entité féminine à la nature indéterminée. Les deux protagonistes, bien que ne parlant pas la même langue, s'entraident alors pour s'échapper du château, Ico veillant sans relâche sur la frêle Yorda, que des hordes de chimères tentent d'empêcher de fuir.
 

Ico
Éditeur : Sony Computer Entertainment
Développeur : SCE Japan Studio (Team Ico)
Concepteur : Fumito Ueda
Date de sortie : 30 septembre 2001
Pays d’origine : Japon
Genre : Action-aventure
Mode de jeu : Solo
Média : DVD
Contrôle : Manette
Plate-forme : PS2
 
Mon avis : 
Il était apparu comme étant un véritable ovni vidéoludique en cette lointaine année 2001, lors des tous débuts de la Playstation 2 et avait eu droit à moult critiques élogieuses de la part de la presse spécialisé, avait sut gagner le cœur de celles et ceux qui se l’étaient procurer et, pour la petite histoire, n’avait pas réalisé de grosses ventes, le contraire étant plutôt exact… De quoi est-ce que je parle ? Mais d’un certain Ico, bien évidement, premier galop d’essai d’un certain Fumito Ueda qui se fit alors connaitre de la meilleure des façons et qui revint par la suite avec deux autres merveilles dont je vous parlerais en temps et en heure : Shadow of the Colossus et The Last Guardian. Il faut dire, histoire d’expliquer le nombre peu important de ventes de ce soft lors de sa sortie, que Ico était un jeu au concept absolument pas grand public pour un sou : loin des standards de l’époque – RPG nippons, sport, aventure à la Tomb Raider, voitures – celui-ci mettait plutôt en avant un certain onirisme, la collaboration entre le personnage que l’on interprétait à l’écran et une bien mystérieuse jeune femme que l’on devait absolument protéger, moult énigmes à deviner afin que l’on puisse avancer dans l’histoire et, surtout, la relation entre les deux protagonistes et les sentiments qui en découlaient pour le joueur. Un ovni, donc, comme je vous le disais en préambule de cette critique, qui ne toucha pas le grand public mais cela, finalement, importait peu : la révolution était en marche, Fumito Ueda allait faire encore mieux avec Shadow of the Colossus et celui-ci finirait par inspirer tellement de softs par la suite – dont certains, très différents – qu’en faire la liste serait trop fastidieux selon moi. Bref, vous l’avez compris, Ico fut, en son temps, une véritable petite merveille qui mériterait, selon moi, un beau petit remake sur des consoles plus récentes – la PS4 voir la PS5 qui sortira dans quelques mois – mais bon, ceci est un vœu pieu de ma part qui n’arrivera peut-être jamais…
 

Points Positifs
 :
- Un des jeux les plus originaux et stupéfiants de la PS2 : complètement novateur de par son concept, absolument pas grand public pour un sou, mettant l’accent sur la relation entre les deux personnages principaux, Ico est une véritable petite merveille qui n’a absolument pas perdu de son charme même presque deux décennies après sa sortie.
- L’émotion qui se dégage de ce soft, particulièrement au vu de la relation particulière qui se noue entre le personnage que l’on interprète à l’écran – le jeune garçon à cornes – et la mystérieuse jeune fille que l’on doit protéger à tous prix ! Une première dans le petit monde des jeux vidéo !
- Même si, graphiquement parlant, Ico accuse fortement son âge désormais, il faut reconnaitre que, à l’époque, celui-ci nous proposait un univers plutôt magnifique et qui marquait les esprits de par ses décors cyclopéens.
- Enigmes diverses, plate-forme, combats et pas mal de réflexion : bref, de quoi ravir les amateurs de jeux d’aventures.
- Une première pour Fumito Ueda qui reviendra par la suite avec Shadow of the Colossus et The Last Guardian.
 
Points Négatifs :
- Hélas, pour ce qui est de la jouabilité, il y a pas mal de soucis par moments et il est courant de s’énerver, a raison, lors de multiples échecs dut a une caméra mal placée, surtout que le jeu peut rapidement être très punitif !
- Bon, il faut reconnaitre qu’il faut adhérer au concept de Ico et que ce soft, aussi bon soit-il, ne plaira probablement pas au grand public qui dédaignera totalement ce jeu a l’univers si particulier…
 
Ma note : 8/10