Downton Abbey – Saison 5
Downton
Abbey – Saison 5
Janvier
1924. La vie poursuit son cours à Downton Abbey : Mary songe à se remarier mais
veut être sûre d'aimer Lord Gillingham qui ne cesse de lui demander sa main et
lui propose de devenir amants. Il lui suggère une escapade à deux loin de
Downton. Edith se morfond et rend secrètement visite à sa fillette confiée aux
Drewe un couple du village. Margie Drewe soupçonne Edith d'être amoureuse de
son mari et ignore la vraie raison des fréquentes visites d'Edith à sa fille
Marigold. Lady Violet cherche à contrecarrer les possibilités de remariage et
d'ascension sociale d'Isobel à qui Lord Merton – nanti d'un charmant château et
d'une jolie fortune – fait la cour. Violet provoque donc une rencontre entre
Lord Merton et Lady Shakleton, veuve comme lui et très séduisante. Tom est
amené à revoir officiellement la jeune institutrice socialiste grâce à
l'intervention déplacée de Rose qui la convie lors d'une soirée donnée à
Downton. Le courant passe mal entre Miss Bunting et la famille Crawley. Miss
Bunting émet des opinions politiques très tranchées lors du dîner, ce qui
irrite Lord Grantham.
Downton Abbey – Saison 5
Réalisation
: Brian Percival
Scénario
: Julian Fellowes
Musique : John
Lunn
Production : ITV1
Genre : Historique,
Drame
Titre
en vo : Downton Abbey – Season 5
Pays
d’origine : Royaume-Uni
Chaîne
d’origine : ITV1
Diffusion
d’origine : 21 septembre 2014 – 25 décembre
2014
Langue
d'origine : anglais
Nombre
d’épisodes : 9 x 60 minutes
Casting :
Hugh
Bonneville : Lord Robert Crawley
Michelle
Dockery : Lady Mary Josephine Crawley
Maggie
Smith : Lady Violet Crawley
Elizabeth
McGovern : Lady Cora Crawley
Penelope
Wilton : Isobel Crawley
Laura
Carmichael : Lady Edith Crawley
Allen
Leech : Tom Branson
Jim
Carter : Charles Carson, majordome
Brendan
Coyle : John Bates
Joanne
Froggatt : Anna Bates
Kevin
Doyle : Joseph Molesley
Rob
James-Collier : Thomas Barrow
Phyllis
Logan : Elsie Hughes
Sophie
McShera : Daisy Mason
Lesley
Nicol : Beryl Patmore
Lily
James : Lady Rose MacClare
Edward
Speleers : James « Jimmy » Kent
David
Robb : Dr Richard Clarkson
Raquel
Cassidy : Phyllis Baxter
Tom
Cullen : Anthony Foyle, Lord Gillingham
Julian
Ovenden : Charles Blake
Samantha
Bond : Lady Rosamund Painswick
Peter
Egan : Lord Hugh « Shrimpie » MacClare
Daisy
Lewis : Sarah Bunting
Brendan
Patricks : Evelyn Napier
Douglas
Reith : Lord Merton
Andrew
Scarborough : Tim Drewe
Jeremy
Swift : Spratt
Harry
Hadden-Paton : Herbert « Bertie » Pelham
Richard
E. Grant : Simon Bricker, historien de l'art
Anna
Chancellor : Lady Anstruther, ancienne employeuse de
Jimmy Kent
Rade
Šerbedžija : Prince Kuragin, réfugié russe
Mon
avis : Cinquième saison, déjà, de cette
excellente série britannique qu’est Downtown
Abbey et, ma foi, la première chose qui me vient a l’esprit, c’est
que c’est toujours aussi bon ! Oh bien entendu, il faut aimer le genre,
apprécier ce genre d’œuvres en costumes, aux ambiances historiques, mais si
c’est le cas, alors, il est évidant qu’il est difficile de ne pas apprécier
cette série. Bien évidement, qui dit cinquième saison dit que, le fan, conquis
depuis longtemps, est en terrain plus que familier et ne peut que retrouver
avec plaisir toute cette horde de personnages qu’il apprécie et connais bien
désormais, cependant, si les aléas sentimentaux de Mary peuvent parfaitement
laisser froid le spectateur – surtout que cette dernière est tellement
antipathique envers sa sœur qu’il est difficile de l’appréciée – et que le
misérabilisme du couple Bates ennuyer plus qu’autre chose, il est clair que la
présence de protagonistes comme Rose, qui trouvera ici chaussure a son pied,
Tom, qui finira par partir pour l’Amérique dans le dernier épisode, Carson,
toujours égal a lui-même, Lady Violet, toujours aussi drôle quoi qu’on en dise
et, bien entendu, Robert, toujours aussi paumé et qui ne comprend rien a rien,
quoi qu’il en pense, fait que l’on ne peut que s’attacher aux nombreuses
péripéties qui frappent la famille Crawley au court de cette saison. Cependant,
si l’on devait retenir une chose avant tout, ce serait, selon moi, Edith, la
sœur toujours mise de coté depuis les débuts de la série : son histoire
personnelle, avec sa fille m’aura particulièrement touché… en tous cas, bien
plus que les aléas sentimentaux d’une Mary décidément de plus en plus
antipathique et inintéressante…
Points
Positifs :
-
Une série toujours aussi bonne et même si cela fait bien longtemps que l’effet
de surprise des débuts est passé, force est de constater que, même au bout de
cinq saisons, elle est toujours aussi efficace : intrigues qui tiennent
davantage du soap qu’autre chose mais qui n’en restent pas moins plaisantes,
costumes, décors, une certaine dose d’humour par moments… bref, un pur
régal !
-
Le personnage d’Edith, enfin mis en avant avec son histoire avec sa fille.
-
Lady Violet, toujours aussi drôle, Robert, qui semble tomber des nues a chaque
fois, Carson, égal a lui-même, Tom, un de mes personnages préférés, Thomas,
bien plus intéressant qu’on pourrait le croire de prime abord…
Points
Négatifs :
-
Le personnage de Mary est de plus en plus détestable, en plus d’être
inintéressant au possible : il faut dire que ses atermoiements
sentimentaux m’auront laissé de marbre, quand a son mépris pour sa sœur, il en
devient malsain !
-
Le couple Bates et son misérabilisme pathétique ; sincèrement, ces deux
là, je ne peux plus !
-
Le décès du chien…
-
Tom Branson part pour l’Amérique a la fin de la saison.
Ma
note : 8/10
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