Waiting for the Sun
2 - Love Street (Morrison, Krieger, Manzarek, Densmore) 2:53
3 - Not to Touch the Earth (Morrison, Krieger, Manzarek, Densmore) 3:56
4 - Summer's Almost Gone (Morrison, Krieger, Manzarek, Densmore) 3:22
5 - Wintertime Love (Morrison, Krieger, Manzarek, Densmore) 1:54
6 - The Unknown Soldier (Morrison, Krieger, Manzarek, Densmore) 3:22
7 - Spanish Caravan (Morrison, Krieger, Manzarek, Densmore) 3:03
8 - My Wild Love (Morrison, Krieger, Manzarek, Densmore) 3:01
9 - We Could Be So Good Together (Morrison, Krieger, Manzarek, Densmore) 2:26
10 - Yes, the River Knows (Morrison, Krieger, Manzarek, Densmore) 2:36
11 - Five to One (Morrison, Krieger, Manzarek, Densmore) 4:26
Waiting for the Sun
Musicien : The Doors
Parution : 12 juillet 1968
Producteur : Paul Rothchild
Label : Elektra
Jim Morrison : chant, percussions
Points Positifs :
- Quelques titres sortent du lot et méritent le détour, comme The Unknown Soldier, Five to One, Spanish Caravan et, dans une moindre mesure, Hello, I Love You. C’est peu, très peu pour un groupe de la qualité des Doors, mais bon, il faut faire avec…
- Justement, dans le cas de The Unknown Soldier, nous avons là une magnifique chanson contre la Guerre du Vietnam et la manière dont celle-ci était présentée dans les médias américains de l’époque.
- La voix de Morrison, inoubliable, souvent imité, jamais égalée.
- Musicalement, même si groupe fit mieux et fera mieux par la suite, la qualité est toujours au rendez vous, les membres du groupe étant tout, sauf des manchots.
- Un des plus mauvais albums des Doors, tout simplement. Il faut dire que, dans le cas présent, rares sont les titres qui sortent vraiment du lot et que, qualitativement parlant, nous sommes à mille lieux de ce que le groupe fit auparavant ou fera par la suite…
- Quelques chansons sont tellement moyennes qu’elles en sont presque navrantes, quand à My Wild Love, espèce de délire psychédélique où les membres du groupe semblent invoquer le Grand Esprit, c’est le parfait exemple de ces fichus délires hippies de l’époque.
- Ah, si Morrison avait picolé un peu moins et avait été capable de nous pondre une version potable de The Celebration Of The Lizard, sans nul doute, une de ses œuvres les plus monumentales… Sans nul doute que cet album aurait été bien différent et bien plus réussi !
- Même la jaquette n’est pas époustouflante…
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