Live
Rust
Neil
Young
1
- Sugar Mountain (Neil Young) 4:53
2
- I am a Child (Neil Young) 2:53
3
- Comes a Time (Neil Young) 3:05
4
- After the Goldrush (Neil Young) 3:38
5
- Hey Hey, My My (Out of the Blue) (Neil
Young/ Jeff Blackburn) 3:49
6
- When You Dance I Can Really Love (Neil Young) 3:39
7
- The Loner (Neil Young) 4:51
8
- The Needle and the Damage Done (Neil Young) 2:12
9
- Lotta Love (Neil Young) 2:51
10
- Sedan Delivery (Neil Young) 4:46
11
- Powderfinger (Neil Young) 5:29
12
- Cortez the Killer (Neil Young) 7:25
13
- Cinnamon Girl (Neil Young) 3:08
14
- Like a Hurricane (Neil Young) 7:10
15
- Hey Hey, My My (Into the Black) (Neil
Young/ Jeff Blackburn) 4:58
16
- Tonight's the Night (Neil Young) 6:59
Live Rust
Musicien
: Neil
Young
Parution
: 19 novembre 1979
Enregistré : 22
octobre 1978
Durée : 73:47
Genre
: Country,
Rock
Producteur : David
Briggs, Tim Mulligan et Bernard Shakey
Label
: Reprise
Records
Musiciens :
Neil
Young : chant, guitares, harmonica, piano
Frank
Sampedro : guitares, claviers, chœurs
Billy
Talbot : basse, chœurs
Ralph
Molina : batterie, chœurs
Mon
avis : Vieil amateur de l’inusable Neil
Young, j’ai eu, depuis le début de ce mois de juin, l’occasion de vous parler
de ses albums et donc, à présent, notre bon vieux Loner revient faire un petit
tour, ce, avec un opus qui, aussi incroyable que cela puisse paraitre, je
n’avais jamais écouté ! Quoi qu’il en soit, ce Live Rust, le
méritait bien… quoi, oh mais que l’on s’attarde un peu sur lui, bien entendu…
Car bon, comment dire… si au cours de sa très longue carrière – débutée dans
les années 60 et toujours pas achevée actuellement – Neil Young a été capable
du meilleur – souvent – mais aussi du pire – hélas – il est clair que ce Live
Rust, album enregistré en concert, comme son nom le laisse sous-entendre,
fait parti de la première catégorie. Paru dans les bacs quelques mois après le
somptueux Rust Never Sleeps – a priori un album solo mais qui tient d’avantage du
live – ce dernier lui est très semblable, ce qui est naturel : Young,
tenant alors une forme olympique, revigoré par le punk naissant, est intenable
tout au long de l’album et si la première partie, acoustique, est plus calme,
une fois la guitare électrique en main, on n’arrête plus le canadien qui livre
ici une performance live tout simplement excellente. Bien évidement, de par bon
nombre de ses chansons mais aussi de par sa conception, Live Rust tient
énormément de Rust Never Sleeps de qui il est le prolongement
naturel. Mais bon, ne faites pas comme moi, ne remettez pas au lendemain
l’écoute de cet opus sous prétexte qu’il n’est qu’un Rust Never Sleeps en
concert, cela serait commettre une grossière erreur…
Points
Positifs :
- Peut-être
un des meilleurs si ce n’est le meilleur album live de la longue carrière du
Loner. Il faut dire que cet opus est tout simplement sans le moindre point
faible, que le choix des titres est plutôt bon, que Young tient une forme
olympique et, accessoirement, que la durée n’est pas excessive. Bref, pourquoi
bouder son plaisir !?
-
Bien évidement, Live Rust est le prolongement en live de Rust
Never Sleeps (quoi que celui-ci le fût déjà en partie) mais si
quelques titres de ce dernier sont naturellement présents, Neil Young nous
offre tout un tas de chansons des plus anciennes aux plus récentes, ce qui
ravira les fans.
-
Une partie acoustique parfaite mais le meilleur est à venir car une fois que
Neil Young se saisit de sa guitare électrique, l’album prend une toute autre
dimension !
-
Un Crazy Horse au sommet de sa forme.
Points
Négatifs :
- Il
est évidant que Live Rust ressemble bigrement a Rust
Never Sleeps qui était déjà a moitié live, y compris dans sa
conception.
-
Un grand bof pour la pochette… curieusement, celle de Rust Never Sleeps n’était
pas terrible non plus…
Ma
note : 8/10
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