The
Elder Scrolls 5 – Skyrim
Les
événements de Skyrim se déroulent en l'an 201 de la Quatrième
ère (4E 201) soit 200 ans après ceux d'Oblivion, dans un contexte de
guerre civile : après l'assassinat du haut-roi de Bordeciel, des conflits
éclatent entre les nordiques indépendantistes et ceux qui soutiennent encore
l'empire sur le déclin, lequel est sous la domination d'une faction
pan-elfique, les Thalmors. C'est également le moment que choisit Alduin pour
réapparaître : cet antique dragon revient pour dévorer le monde qui touche à sa
fin. Le joueur, qui incarne à nouveau un prisonnier anonyme, découvrira au
cours du jeu qu'il est le seul en mesure de s'opposer à Alduin et aux dragons :
il est le Dovahkiin, « l'Enfant de dragon ».
The Elder
Scrolls 5 – Skyrim
Éditeur : Bethesda Softworks
Développeur : Bethesda Game Studios
Concepteur : Todd Howard
Date
de sortie : 11 novembre 2011
Pays
d’origine : Etats-Unis
Genre
: Action-RPG
Mode
de jeu : Solo
Média : Blu-Ray
Contrôle : Manette
Plate-forme
: PlayStation
3
Mon
avis : La critique que je vous propose
aujourd’hui est sans nul doute une première sur ce blog puisque, en effet,
c’est la toute première fois que je publierai la critique d’une œuvre, ici, un
jeu vidéo donc, que je n’aurai pas achevée. Bien évidement, rien qu’avec ce préambule,
certains pourraient trouver qu’en aucune façon, celle-ci ne se justifie,
cependant, ayant parfaitement conscience que, par manque de temps, je ne
finirai jamais cette véritable merveille qu’est Skyrim, je n’ai pas
pu m’empêcher de vous en parler. Car en effet, même si je ne suis pas aller au
bout de ce cinquième opus de la saga The Elder Scrolls, même si
finalement, je ne devrais pas juger comme il se doit ce soft, je pense que,
pour ce que j’en ai joué, pour ce que j’ai pu découvrir de ce formidable
univers proposé, de ces graphismes tout simplement somptueux et des mille et
une possibilités offertes aux joueurs, je pense que proposer une critique plus
ou moins convenable de ce Skyrim n’est pas chose impossible,
ne serait-ce qu’au vu du nombre d’heures que j’ai passé dessus – même si, je
l’avoue, cela fait des mois et des mois que j’ai mis ce jeu de côté… Car Skyrim,
pour ceux qui aiment ce style de jeu, pour ceux qui sont prêts (et qui peuvent)
a passer au bas mot 200 heures à se balader dans des forêts enneigées,
parcourir de vastes contrées inhospitalières, risquer leur vie dans des donjons
mortels, visiter maintes villes et discuter avec tout un tas de personnages,
accomplir des quêtes, encore et encore, et, bien entendu, augmenter, petit à petit,
les caractéristiques de son avatar, bref, pour tous ceux qui ont la chance (ou
pas) d’avoir tout le temps libre nécessaire pour venir à bout d’un tel soft,
alors, il est indéniable que Skyrim est fait pour eux et que,
en venir à bout et achever sa quête principale doit être une grande
satisfaction. Mais si comme moi, vous avez un travail, une famille, des
enfants, un minimum de vie sociale mais aussi d’autres loisirs, alors, passez
votre chemin, ou bien, dites-vous qu’il vous faudra des années pour en venir à
bout… En tous cas, il me parait évidant que Skyrim est un
monument du genre, un chef d’œuvre qui met tout le monde d’accord, mon seul
regret étant que ce jeu ne soit pas sorti dix ans plus tôt, là, j’aurais pu le
finir…
Points
Positifs :
- L’univers
proposer dans Skyrim est tout bonnement somptueux, certes, on
peut noter ici et là quelques petits détails gênants au niveau des textures (je
parle ici de la version PS3), mais dans l’ensemble, par moments, on
se croirait presque être en train de parcourir des montagnes aux sommets
escarpés, de sombres forêts, et il m’est arrivé à plusieurs reprises de
m’attarder devant tel paysage, pétri d’admiration devant tant de beauté.
-
Une quête principale intéressante bien que peu originale, et, bien entendu,
comme il se doit dans ce genre de softs, un nombre impressionnant de
sous-quêtes qui vous fera voir du paysage.
-
La durée de vie, tout bonnement monumentale !
-
Une prise en main rapide, des menus plutôt simples, tout est fait pour le
confort du joueur.
Points
Négatifs :
-
Comme je l’ai dit précédemment, quelques petits problèmes de textures sur la
version PS3, mais bon, quand on prend le jeu dans son ensemble,
c’est tout de même mineur.
-
La durée de vie : et oui, si vous n’êtes pas un asocial, au chômage et
sans aucune autre passion dans la vie, alors Skyrim est fait
pour vous, si ce n’est pas le cas, cela peut poser des problèmes…
-
Mine de rien, malgré les grandes qualités du soft qui est un modèle du genre,
l’on retrouve bon nombre des habituels défauts du genre comme les multiples
allers/retours dans des boutiques pour vendre l’équipement trouvé et le fait
que, à force d’accepter toutes les quêtes possibles et inimaginables, on peut
finir par s’y perdre.
-
Quelques temps de chargements plutôt pénibles.
Ma
note : 8,5/10
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